Au CODE, nous sommes une véritable équipe d’amis. Nous partageons des galaxies de sentiments d’Amitié, dans la salle commune, au café du matin et au repas de midi, et dans les ateliers. J’ai repéré cette Amitié absolue, et j’ai proposé à l’atelier vidéo ce sujet qui me tient particulièrement à coeur (Olivier Debelle).
L’artiste Charlotte Dunker nous a réunis dans un atelier autour de photos anciennes qu’elle nous a proposé de faire revivre en les redessinant et en les animant. À travers ces images chargées d’émotions, nous avons replongé dans les souvenirs et avons mesuré la trace du passé.
C’est l’histoire d’Elisa et d’une lettre anonyme... Ou comment un projet institutionnel a transporté le groupe d’atelier en atelier pour finalement devenir un film.
L’écriture est son combat, le théâtre de ses métamorphoses. Monstre hideux, squelette, malade, Paul Edouard poursuit sa quête, « en pleine folie collective ». Il ne tient qu’à un fil, celui de son rêve, « non-étranger ». Peut-être cherchet-il à l’apprivoiser, à s’apprivoiser ? La rencontre d’une femme, celle que l’on dit « de joie », le conduira vers l’autre rive. Son écriture se fait chair, terre d’accueil. Entre apparitions et disparitions, entre vie et mort, le livre appelle encore et encore, il est pour son auteur un coin de liberté.
A l’hôpital, quand on a le dos tourné, il se passe des choses étranges. De curieux petits bonshommes prennent possession des lieux… Un film réalisé par 12 élèves de l’école fondamentale communale Léopold Mottet.
Le Funambule avait un rêve. Celui de voler d’étoile en étoile. Pourtant il n’avait pas d’ailes. Non seulement il réalisa son rêve mais il réveilla aussi les rêves des citoyens de la planète Terre.
Un jour, un réfugié s’adresse à une administration pour demander l’asile. De bureau en bureau, sa présence sème le doute dans l’enceinte grise des dédales de la bureaucratie. Alors le destin de cet inconnu, sans le savoir, va modifier le destin de tous les autres... jusqu’au grand soir.
Léandre vit dans la passion d’une comédienne du 16ème siècle, Isabella Andréini, la première femme à être montée sur scène en France. Il accepte un jour qu’une jeune femme vienne consulter chez lui un recueil de notes de l’actrice…
Cette version suggestive et littéraire du fameux conte est le résultat d’un travail collectif où chacun, au sein des différents ateliers proposés à Revers (peinture, dessin, écriture, musique, animation…), a pu apporter son grain de sel.