Peut-on accuser le monde du travail de pousser des hommes et des femmes à mettre fin à leurs jours? Les raisons d'un suicide sont-elles condamnées à toujours rester dans l'ombre? La question est délicate mais bien réelle, car chez Renault, EDF ou PSA, plusieurs affaires ont jeté la lumière sur ce fait de société tabou: il y aurait en France 400 suicides par an liés au travail, soit un par jour.
Stress, pression, harcèlement moral: au travers de six histoires individuelles, ce reportage tente de comprendre le malaise en allant à la rencontre des familles, des collègues, des entreprises.
C'était le 2 octobre 1999. Seul dans l'appartement de sa mère, à Neuchâtel, Thomas se donnait la mort. Il avait 22 ans. A l'âge où d'autres entament à peine leur existence, il a décidé d'en finir avec la vie.
Passionné de cinéma, Thomas tournait des courts-métrages avec ses copains. Mais dans les derniers mois de sa vie, sa caméra lui a surtout servi de confidente. Tous les jours ou presque, il s'est filmé dans l'intimité de sa chambre, en cachette. A la caméra, il a confié tout ce qu'il ne voulait pas avouer à ses proches: son mal-être, ses frustrations, sa résolution de mourir. En guise de testament, le jeune homme laisse donc à ses proches, quinze heures d'enregistrement vidéo retraçant les sept derniers mois de sa vie. Dix ans plus tard, Orane Burri, une de ses amies, devenue cinéaste, ose se replonger dans ces images.
Poignant et dérangeant, ce témoignage est aujourd'hui au coeur de ce film sans voyeurisme. "Tabou" a atteint sa cible: soulever de vraies interrogations sans tomber dans un pathos inutile. Refusant de recueillir l'avis de spécialistes de la prévention du suicide, l'objectif de la réalisatrice est bien ici de "tenter de comprendre le suicide de l'intérieur". Elle donne ainsi plutôt la parole en contrepoint des scènes où Thomas s'exprime, à sa mère, sa soeur et deux de ses amis.
DVD 1 (108'): En filmant, jour après jour, pendant quatorze semaines, les protagonistes de la classe-relais du collège Paul Bert à Évreux, le document nous montre comment vivent au quotidien les adolescents et les adultes engagés dans le dispositif. Un rétablissement scolaire? C'est la question que pose le titre. Rescolarisation ou resocialisation? C'est l'interrogation sur laquelle s'achève le document. Loin de se limiter à la problématique institutionnelle, le film révèle de vrais personnages, émouvants et authentiques: des adultes attentifs et courageux, animés par la conviction, et des jeunes qui demandent qu'on leur tende la main. De leur confrontation naît la force de ce film-citoyen. DVD 2 (210'): Une série d'entretiens avec l'auteur, avec les principaux intervenants et partenaires du dispositif au niveau local et national, à la direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse et à la Direction de l'Enseignement scolaire où l'on évoque la mise en place des "ateliers-relais".
Note: L'ensemble constitue une somme de références pour la formation des acteurs de ces dispositifs.
Un jour, Alexandre Kouznetsov, photographe, se rend dans un institut psychopédagogique, à 400 km de Krasnoïarsk où il réside. Régulièrement, il y retourne: "Au milieu de ces gens, déclarés fous, inadaptés, j'ai découvert un territoire d'une authenticité, d'une vérité dans les rapports, inimaginable dans le monde "normal". Et cela grâce au projet défendu par celui qui est aujourd'hui à la tête de cet établissement".
C'est ce visage-là, cette image-là de la Russie que le réalisateur a voulu transmettre: un autobus bringuebalant, empli de "fous", s'enfonçant dans la nuit après avoir donné un spectacle de chants devant des détenus, des enfants - eux aussi enfermés: une métaphore de la Russie.
Après avoir soufflé ses treize bougies, Nina fugue, s'enfuit dans les montagnes et retourne quelques jours plus tard chez elle avec la ferme intention de s'acheter une voiture. Dès lors, elle emploie toute son énergie à réaliser cet objectif, de baby-sittings en gardes de chiens et autres petits boulots.
"L'indépendance vis-à-vis des autres, la découverte de soi à l'aube de la puberté, Nina en fait secrètement l'expérience, disparaît de la maison comme si elle répondait à une injonction spirituelle (...), sans qu'aucune tentation d'un récit de délinquance ou d'hystérie adolescente ne vienne troubler le calme, la tranquillité apparente de la crise." [Cahiers du Cinéma]
Laure a dix ans. Laure est un garçon manqué. Arrivée dans un nouveau quartier, elle fait croire à Lisa et sa bande qu'elle est un garçon. Action ou vérité? Action. L'été devient un grand terrain de jeu et Laure devient Michael, un garçon comme les autres... suffisamment différent pour attirer l'attention de Lisa qui en tombe amoureuse. Laure profite de sa nouvelle identité comme si la fin de l'été n'allait jamais révéler son troublant secret.
Des spécialistes internationaux (Jean-Yves Hayez, Chantale Parret, Roland Seligmann, Marie-Christine Gryson-Dejehansart, Vérity J. Gavin, Guy Lafargue) parlent du traitement pluridisciplinaire de l'enfant maltraité et de sa famille. Par des discussions en tables rondes en réaction à des jeux de rôles et à des témoignages, ils font le tour le plus large des pistes thérapeutiques actuelles, dont quelques-unes frapperont par leur caractère innovant. Des témoins adultes, anciens enfants gravement maltraités, complètent les interventions des spécialistes en nous révélant comment ils ont été aidés dans la mise en place de stratégies de survie et de guérison.
Ces documents vidéo, supports de formation et d'échanges s'adressent en priorité aux professionnels de l'enfance et de la famille confrontés au phénomène de la maltraitance.
1. "L'organisation générale du traitement" sous la responsabilité de Jean-Yves Hayez, pédopsychiatre, professeur à l'Université catholique de Louvain-la-neuve (U.C.L.). Les mauvais traitements sont-ils ipso-facto générateurs de psychopathologie? La transmission générationnelle est-elle inéluctable? Qu'est-ce qui va freiner ou faciliter la "guérison psychique"? Y-a-t-il besoin d'une sollicitude spéciale de la communauté sociale pour repérer, s'interposer, remédier? Faut-il toujours passer par une professionnalisation très poussée? Quelle est la place du judiciaire?...
2. "L'intime et le territoire" sous la responsabilité de Chantale Parret, psychanalyste, psychothérapeute, directrice du CRICS (Centre de recherche et d'innovation dans le champ social - Paris). Le processus thérapeutique pour les situations de violences sexuelles est considéré selon trois temps: la demande de soin thérapeutique - la thérapie familiale - le traitement de l'enfant. Les tables rondes sont précédées de mises en situations fictives qui leur servent de support et qui sont tirées de situations réelles rencontrées par l'équipe de cliniciens du C.R.I.C.S...
3. "Espace transitionnel et expériences thérapeutiques sous la responsabilité de Janine Napolitano, psychologue. Que proposent exactement ces différentes pratiques thérapeutiques tels que celle de Guy Lafargue, fondateur du concept de l'Art cru; celle de Vérity J. Gavin qui nous fait découvrir une approche de psychothérapie par le jeu et la créativité dans la tradition de la play-thérapie anglo-saxonne; ainsi que Marie-Christine Gryson-Dejehansart, initiatrice de la thérapie par le conte méthodologique? La personne qui souffre d'un traumatisme psychologique quel qu'il soit, voit sa dynamique évolutive bloquée, son imaginaire et son intégrité psycho-corporelle disloquées. Il s'agit de lui proposer d'être et de faire dans un contexte euphorisant en l'accompagnant dans un espace transitionnel de sécurité et de réparation, de création et de re-création. Le thérapeute se contentera de mettre en scène et d'activer cet espace transitionnel par différents modes d'expression adaptés aux enfants, adolescents et adultes ainsi qu'aux problématiques en jeu par un accompagnement discret, non intrusif et sécurisant.
Une collection d'entretiens avec de grands praticiens (pédiatre, psychologue, pédopsychiatre, anesthésiste, juge pour enfants, professeur de philosophie,...) qui exposent leurs réflexions et abordent les difficultés, abus et carences dont sont victimes les enfants et les adolescents au sein de la famille ou de l'école.
Moyen d'information pour un travail individuel ou support d'animation collective, les entretiens sont conçus comme outil de réflexion destiné aux professionnels de la santé, de l'enfance et de la famille. Ils sont également conseillés aux parents qui s'interrogent sur les problématiques développées. L'objectif est d'engager la réflexion sur les moyens à mettre en oeuvre pour favoriser le développement harmonieux de l'enfant et de l'adolescent. Un entretien entre Michel Botbol, psychiatre, directeur médical de la clinique Dupré et Cécile Neffati, psychologue.
Les adolescents les plus en souffrance sont les plus souvent ceux qui ont le plus de mal à formuler une demande d'aide car ce sont ceux qui craignent le plus l'établissement d'un lien à l'autre et l'aveu de faiblesse que suppose toute demande. Dépasser cet obstacle est un enjeu majeur pour tous les professionnels.
Suicides chez Renault, Peugeot ou Sodhexo, cadences intenables, surmenage des cadres, infarctus lié au stress... Le travail est-il redevenu synonyme de danger, souffrance, maladie? A l'heure où l'on nous demande de travailler plus pour gagner plus, les Français en ont-ils simplement la force? Ou bien les salariés sont-ils déjà au bord de la crise de nerf?
Et les maladies professionnelles... Chaque année, 47.000 nouveaux cas de travailleurs malades sont diagnostiqués: cinq fois plus qu'il y a dix ans! Tous les jours, 2. 000 personnes sont victimes d'un grave accident du travail. Des chiffres qui depuis quelques années ont cessé de baisser en France. Stress, maladies, accidents: pourquoi les conditions de travail se dégradent elles? Comment améliorer les méthodes de management? La France suit-elle le chemin Japon, le pays du "karochi", la mort par surmenage? Au moment où gouvernement, syndicats et patronat tentent de redéfinir les conditions de travail et la pénibilité des métiers.
1. "Mort au bureau": Pourquoi Yann, 34 ans, jeune cadre compétent et enthousiaste d'une grande société française, s'est-il donné la mort? Epuisé par les horaires, submergé par le stress, il avait alerté sa hiérarchie de son incapacité à suivre le rythme. Qui est responsable? Ses clients, ses collègues, le PDG? Ou bien la technique de management mise en place dans son entreprise? - E. Gay.
2. "Les kamikazes du boulot": Au Japon, le "karochi ", la mort par surmenage, est considéré comme une maladie professionnelle. Les suicides liés au stress se comptent par centaines. Un salarié sur quatre travaille plus de 60 heures par semaine, sans compter les soirées et les week-ends non payées! Comment tiennent au quotidien ces salariés sous pression? Comment les entreprises tentent-elles de remédier à ce fléau? Reportage au pays des forcenés du travail. - Y. Fronty et Z. Berkous.
3. "Cancers à la chaîne": Dans cette petite vallée de l'Aude, des ouvriers ont travaillé pendant des années à la chaîne, sans se douter qu'ils s'empoisonnaient. Aujourd'hui gravement malades, ils accusent leurs entreprises de les avoir sacrifiés. A-t-on respecté les règles? Quels produits dangereux ont-ils manipulé? Qu'ont fait les médecins du travail, les syndicats, la direction? Les consignes de sécurité étaient-elles vraiment adaptées? - E. Margout et A. Tribouart.
4. "Stress business": Les entreprises sont responsables des dangers auxquels leurs salariés sont exposés, y compris le stress. Du coup, la gestion du surmenage est devenue un véritable business. Des cabinets de psychologues investissent les sociétés pour y prodiguer leurs conseils. Comment apprend-on aux managers à gérer la pression? A prévenir le malaise de leurs salariés? A obtenir de meilleures performances sans épuiser les troupes? - Y. Martinet et M. Second.
DVD comprenant deux films: le premier est destiné aux jeunes de 13 à 19 ans; le second est destiné plus spécifiquement aux adultes de la communauté éducative.
1. "Etat de violence" (26'): Les jeunes de 18 à 25 ans parlent de leur rencontre avec la violence à la maison, dans la rue ou à l'école: comment ils l'ont vécue, comment ils ont basculé à leur tour et comment ils s'en sont sortis. Leurs témoignages alternent avec une fiction basée sur un fait divers réel qui met en scène des jeunes tentés par des actes agressifs. Le film cherche à approcher au plus près l'attitude de violence à l'adolescence, qu'elle soit tournée vers les autres ou vers soi-même. Le message se veut foncièrement positif face à une situation qu'on juge trop souvent inéluctable. 2. "Comme une vague" (45'): Témoignages de jeunes de 18 à 25 ans concernés par la violence comme victimes, témoins ou agresseurs. Les récits sont commentés par un psychosociologue et rassemblés en trois thèmes: l'expérience de la violence, comment on bascule et comment on peut s'en sortir. Un outil de débat et de formation pour entrer au coeur de la problématique violente.
Note: Ce film a obtenu une mention spéciale du jury au festival Vidéopsy, Auxerre, 1997.
Bonus DVD: "Le paradoxe de l'adolescence" (20'): Interview exclusive du Professeur Philippe Jeammet, chef de service des adolescents à l'Institut mutualiste Montsouris Jordan.
Ce film propose un état des lieux de la psychiatrie dans notre société et les conséquences alarmantes de la nouvelle loi sur la psychiatrie avec ses objectifs scientiste et gestionnaire.
Qu'est-ce qu'un soin psychique? Peut-on traiter la maladie mentale comme toute autre pathologie? Pourquoi tant de grands malades échappent au soin, au point où on les retrouve massivement dans la rue ou en prison?
Le documentaire s'ouvre sur une tombe, celle d'un homme de 42 ans mort dans la rue, faute d'avoir trouvé un lieu où vivre sa schizophrénie. Une entrée violente pour parler de la folie et des failles de la prise en charge. Comment en est-on arrivé là? Quelles politiques médicale, sociale, judiciaire et économique sont à l'oeuvre dans cette exclusion? La psychiatrie est-elle une discipline normative ou humaniste?
A l'heure du tout sécuritaire et du tout mesurable, c'est à ces questions que répondent les témoignages et les entretiens de ce documentaire.
Daniel Friedmann, chercheur au CNRS, a filmé 15 grands analystes français, une première fois en 1983, puis en 2008. Parmi les nombreuses thématiques abordées, il relève notamment de nombreuses questions: Quel est le but de la psychanalyse? Quelles sont ses enjeux, ses défis, ses limites? Faut-il la réglementer et si oui comment? Qu'est-ce qu'un bon analyste? Quelles sont les différences entre la médecine et la psychiatrie? Quelles sont les nouvelles pathologies?...
Coffret de 14 DVD divisé en 7.
DVD 11. Entretiens avec Jean-Paul Valabrega, psychanalyste, membre fondateur du Quatrième Groupe.
En 1983 (82'). Thèmes: La durée de l'analyse. - La question de la passe. - La psychanalyse est-elle une thérapie? - Être psychanalyste. - La formation du psychanalyste. - L'importance de Lacan. - Pratiques discutables. - Le rôle de l'argent. - Les dangers qui menacent l'analyse.
En 2008 (47'). Thèmes: Être psychanalyste: critique du modèle politique de la psychanalyse. - L'importance de Lacan. - Nouvelles techniques et médicaments. - L'efficacité de la psychanalyse. - De 1983 à 2008. - La réglementation de la psychanalyse. - L'avenir de la psychanalyse.
DVD 12: Entretien avec Jean Clavreul, psychanalyste. - Entretien avec Patrick Landman, juriste, psychiatre, pédopsychiatre et psychanalyste.
Jean Clavreul, en 1983 (82'). Thèmes: Être psychanalyste. - Psychanalyse et religion. - Psychanalyse et psychiatrie. - La question de la passe. - Devenir psychanalyste. - La durée d'une analyse. - Les qualités d'un analyste. - L'institution analytique. - La psychanalyse comme idéologie. - Le rôle de l'argent. - L'avenir de l'analyse.
Patrick Landman, en 2008 (67'). Thèmes: La rencontre avec Jean Clavreul, son enseignement. - Le contrôle selon Clavreul. - L'analyse et l'institution. - L'analyse et le discours du maître. - La pratique analytique de Landman et l'évolution de la demande. - Les critiques de la psychanalyse et l'importance sociale de la psychanalyse. - La réglementation de la psychanalyse.
François Pirotte a accompagné et filmé un groupe de neuf adolescents psychotiques pour la première fois en camp de vacances extérieur à l'Institut "La Porte ouverte" de Blicquy, centre de rééducation psycho-sociale. Grand bain de folie ludique, ce film constitue également un document sur la possibilité d'intégration thérapeutique d'un dispositif audio-visuel à la clinique de la psychose; où l'on parle et agit autrement, où chacun trouve son rythme, où le cinéma, la musique et la photographie sont mis au service d'un traitement de l'image de soi, de l'imaginaire, du symbolique... et du réel.
Ce document est constitué de deux DVD comprenant des séquences vidéo et des ressources documentaires annexées. L'un est consacré à "comprendre", l'autre à "agir". Praticiens, universitaires, spécialistes, proposent expériences de terrain, travaux de recherche, analyses d'actions et de démarches, pour que la violence à l'école ne soit plus une fatalité. Par la richesse des analyses croisées de spécialistes, la diversité des réponses concrètes apportées, la variété des thèmes abordés: définitions, histoire, causes, représentations mentales, réactions, préventions, formation...
Complément des deux DVD: livret pédagogique de 28 pages.
Eva a mis sa vie professionnelle et ses ambitions personnelles entre parenthèses pour donner naissance à Kevin. La communication entre mère et fils s'avère d'emblée très compliquée. A l'aube de ses 16 ans, il commet l'irréparable. Eva s'interroge alors sur sa responsabilité. En se remémorant les étapes de sa vie avant et avec Kevin, elle tente de comprendre ce qu'elle aurait pu ou peut-être dû faire.
Psychologiquement très réaliste, le troisième long métrage de Lynne Ramsay questionne sur les fondements du malaise adolescent sans porter de jugement inutile.
Daniel Friedmann, chercheur au CNRS, a filmé 15 grands analystes français, une première fois en 1983, puis en 2008. Parmi les nombreuses thématiques abordées, il relève notamment de nombreuses questions: Quel est le but de la psychanalyse? Quelles sont ses enjeux, ses défis, ses limites? Faut-il la réglementer et si oui comment? Qu'est-ce qu'un bon analyste? Quelles sont les différences entre la médecine et la psychiatrie? Quelles sont les nouvelles pathologies?...
Coffret de 14 DVD divisé en 7.
DVD 7. Entretiens avec Markos Zafiropoulos, sociologue et psychanalyste.
En 1983 (47'). Thèmes: L'analyse et la politique. - La rupture avec le militantisme. - De la politique à la sociologie. - Le retour au militantisme. - Le marxisme et 1968. - Le but de l'analyse. - L'organisation psychanalytique.
En 2008 (54'). Thèmes: De 1983 à 2008: vers une lecture de Lacan à partir des sciences sociales. - Le père en tant que signifiant dans l'inconscient. - Lacan et Lévi-Strauss. - La toxicomanie. - Être psychanalyste. - La psychanalyse est-elle une science? - La psychanalyse et le politique. - Les neurosciences.
DVD 8. Entretiens avec Eduardo Prado de Oliveira, psychanalyste.
En 1983 (85'). Thèmes: L'importance de Lacan. - L'association psychanalytique. - Être psychanalyste. - La durée de l'analyse. - Les qualités de l'analyste. - Le but de la psychanalyse. - Devenir psychanalyste. - Le rôle de l'argent. - La durée de la séance. - La situation au Brésil.
En 2008 (61'). Thèmes: Une position plus positive sur Lacan qu'en 1983. - Associations psychanalytiques et formation. - Le travail avec les psychotiques. - La technique psychanalytique. - L'état et la réglementation de la psychanalyse. - Les critiques de la psychanalyse. - Nouveaux symptômes?