Au travers de l’image d’un père inventé, fait d’un mélange de sa réalité, de son imaginaire, de ses rêves, Valérie finit par se raconter, par nous livrer une sorte d’autoportrait. Comme si la vie était une sorte de patchwork de moments, d’inattendus et de rencontres, ...
Au CODE, nous sommes une véritable équipe d’amis. Nous partageons des galaxies de sentiments d’Amitié, dans la salle commune, au café du matin et au repas de midi, et dans les ateliers. J’ai repéré cette Amitié absolue, et j’ai proposé à l’atelier vidéo ce sujet qui me tient particulièrement à coeur (Olivier Debelle).
L’artiste Charlotte Dunker nous a réunis dans un atelier autour de photos anciennes qu’elle nous a proposé de faire revivre en les redessinant et en les animant. À travers ces images chargées d’émotions, nous avons replongé dans les souvenirs et avons mesuré la trace du passé.
Monsieur R déambule dans le quartier Saint-job à la recherche de la maison du Wolvendael. Fait des rencontres surprenantes et découvre différents lieux.
Le monde des ados en exil sous le prisme du hip hop. Confrontés à l’incertitude d’obtenir un statut leur donnant une place dans notre société, ces jeunes venus d’Afghanistan, d’Erythrée, de Somalie, du Maroc, du Bénin, de Guinée, du Cameroun, de République Centrafricaine, du Mali et de Côte d’Ivoire, partagent en musique leurs peurs, leur tristesse et leurs espoirs pour l’avenir...
Avec l’équipe de Zorobabel, les artistes du Créahm-Bruxelles ont réalisé chacun une capsule animée pour découvrir leur univers graphique et personnel. Un florilège de 5 capsules.
Une réappropriation du thèmedu Minotaure. Amené à sortir de son antre, le «Minotaure» est tiraillé entre qui il croit être et ce qui lui est adressé. Homme, chef, bête ou monstre? Répondre à l’énigme est sa porte de sortie...
C’est l’histoire d’Elisa et d’une lettre anonyme... Ou comment un projet institutionnel a transporté le groupe d’atelier en atelier pour finalement devenir un film.
L’écriture est son combat, le théâtre de ses métamorphoses. Monstre hideux, squelette, malade, Paul Edouard poursuit sa quête, « en pleine folie collective ». Il ne tient qu’à un fil, celui de son rêve, « non-étranger ». Peut-être cherchet-il à l’apprivoiser, à s’apprivoiser ? La rencontre d’une femme, celle que l’on dit « de joie », le conduira vers l’autre rive. Son écriture se fait chair, terre d’accueil. Entre apparitions et disparitions, entre vie et mort, le livre appelle encore et encore, il est pour son auteur un coin de liberté.