A l’hôpital, quand on a le dos tourné, il se passe des choses étranges. De curieux petits bonshommes prennent possession des lieux… Un film réalisé par 12 élèves de l’école fondamentale communale Léopold Mottet.
Le Funambule avait un rêve. Celui de voler d’étoile en étoile. Pourtant il n’avait pas d’ailes. Non seulement il réalisa son rêve mais il réveilla aussi les rêves des citoyens de la planète Terre.
Un jour, un réfugié s’adresse à une administration pour demander l’asile. De bureau en bureau, sa présence sème le doute dans l’enceinte grise des dédales de la bureaucratie. Alors le destin de cet inconnu, sans le savoir, va modifier le destin de tous les autres... jusqu’au grand soir.
Léandre vit dans la passion d’une comédienne du 16ème siècle, Isabella Andréini, la première femme à être montée sur scène en France. Il accepte un jour qu’une jeune femme vienne consulter chez lui un recueil de notes de l’actrice…
Cette version suggestive et littéraire du fameux conte est le résultat d’un travail collectif où chacun, au sein des différents ateliers proposés à Revers (peinture, dessin, écriture, musique, animation…), a pu apporter son grain de sel.
Le docteur Brain est un psychiatre renommé prêt à relever le défi de réinsérer dans le monde du travail toute une série de losers, malgré leur(s) excentricité(s). Y parviendra-t-il ?
Tombée de la nuit. La place est publique, le banc est public, l’homme est seul. Il marche vers un cercle de lumière. Magique ? Electrique. Il se souvient et danse au son de l’enfance. Il retourne le soleil et danse, danse… se perd et retrouve plus qu’il n’avait laissé : lui, les voix qui l’accompagnent et la douceur d’une écharpe comme la main d’une femme aimée sur sa joue… L’homme retourne vers le banc, il n’est plus seul.
Le film regroupe quatre témoignages sur la vie sexuelle et amoureuse de personnes handicapéesqui ont pour thème: le deuil, la souffrance de ne pas avoir de relations sexuelles, le fait de ne pas pouvoir avoir un enfant, le déni de sa sexualité. Ces quatre témoignages exposent quatre facettes différentes d’une même problématique.
Chaque participant prend en charge son ultracourt, de A à Z - ou presque ! Chacun choisit son langage et le résultat est à l’avenant : décapant et hétéroclite.
À l’origine de ce film, cette proposition : écrire une lettre, s’adresser à quelqu’un, parler de soi. Ensemble, les 12 participants ont illustré autant de lettres intimes dont les lectures sont rythmées par une bande-son réalisée, elle aussi, en atelier.
Amalinda, jeune sorcière, en a marre de sa famille qu’elle juge, marginale et bizarre. Adolescente, elle décide de fuguer et de partir à la découverte du vrai monde. Après diverses aventures, elle reviendra chez elle, grandie.
Entre le désir de chacun et la marche du monde, qui sera winner ou loser et en fonction de quoi? Clip vidéo et musical, le projet s’est incarné en marelle déambulatoire aux ambiances rythmées où le destin se joue.
Film d’animation réalisé par Aline Moens dans le cadre d’un groupe de parole, Ma Peau Aime est un vibrant «documentaire imaginaire» sur la vie affective et sexuelle de personnes en situation d’handicap mental.
L’idée de ce film est parti du désir des participants à l’atelier vidéo du CODE de réaliser une comédie sur le sujet de l’hospitalisation en psychiatrie. Le travail s’est construit d’après les impressions, sentiments et souvenirs de patients du Code ayant raconté l’un ou l’autre épisode de leurs séjours en hôpital psychiatrique. Ensuite, il a consisté à imaginer un univers ludique un peu particulier… Paul Cambier, un homme comme les autres, est soudain éjecté de son univers quotidien et « atterrit » brutalement dans le Maboul Palace dont il va progressivement découvrir les règles.
Une vengeance, un règlement de compte… Pour Gaétan, tout commence par une dispute anodine avec son grand-père. Très vite, les secrets de famille se dévoilent, les rancoeurs aliment le désir de vengeance. Jusqu’où cela le conduira-t-il ?