A travers reportages et entretiens, le magazine de la rédaction de France 2 présenté par Françoise Joly et Guilaine Chenu aborde tout ce qui fait l'actualité internationale. Loin du sensationnalisme arbitraire, les grands reporters d'Envoyé spécial scrutent la réalité, décortiquent la situation et rencontrent les protagonistes afin de poser un autre regard et de découvrir une autre vérité.
Jadis, on l'appelait l'école buissonnière. Aujourd'hui, l'absentéisme des élèves est considéré comme un véritable fléau par l'Education nationale. C'est même "la plus grave des maladies scolaires" selon la très sérieuse Inspection générale. Aucun établissement n'y échappe. De la sixième à la terminale, l'absentéisme régulier touche environ 13 % des élèves du second degré, et jusqu'à un lycée sur deux dans certaines filières professionnelles. Que font-ils quand ils ne vont pas en cours? Que cachent leurs absences répétées?... Dans les collègues et les lycées, enseignants et équipes pédagogiques se battent pour ramener vers l'école des ados dont l'absentéisme est bien souvent le signe d'un malaise profond: les difficultés familiales, l'échec scolaire, jalonnent ces parcours chaotiques. Entre des parents parfois laxistes, et des sanctions administratives lourdes, comme la suppression des allocations, familiales pour manquement à l'obligation scolaire, l'école tente de trouver d'autres solutions pour empêcher les élèves de "décrocher". Car des journées en semaines d'absences, puis en mois, c'est la déscolarisation définitive qui guette ces jeunes, et, à long terme, des années de galère.
Note: Texte extrait du dossier de presse de France 2 proposé par le Service éducatif.
Deux documentaires sur le thème de l'adolescence. 1. "Paroles d'ados": A quoi rêvent les ados? Quelles sont leurs aspirations, leurs craintes? Ce film leur donne la parole, témoignages spontanés, drôles ou émouvants sur des thèmes qui les touchent. Huit séquences: L'ennui - Boire, fumer - Se protéger du sida - En parler avec ses parents - Le regard des autres - Les filles et les garçons - Le sentiment amoureux - En fin de compte. (E. Bitoun, 30'). 2. "Avoir 17 ans": Portraits de cinq jeunes, filles et garçons passionnés par la nature, suivis tout au long de l'année du baccalauréat. Ils nous font part de leurs expériences... La caméra les suit au lycée et chez leurs parents. Ce film est une invitation au dialogue. (E. Bitoun, 30').
Bonus DVD: "Mes fiançailles avec Hilda": court métrage d'Eric Bitoun (18') - "Comme ça, j'entends la mer": court métrage de Hélène Milano (19').
Une collection d'entretiens avec de grands praticiens (pédiatre, psychologue, pédopsychiatre, anesthésiste, juge pour enfants, professeur de philosophie,...) qui exposent leurs réflexions et abordent les difficultés, abus et carences dont sont victimes les enfants et les adolescents au sein de la famille ou de l'école.
Moyen d'information pour un travail individuel ou support d'animation collective, les entretiens sont conçus comme outil de réflexion destiné aux professionnels de la santé, de l'enfance et de la famille. Ils sont également conseillés aux parents qui s'interrogent sur les problématiques développées. L'objectif est d'engager la réflexion sur les moyens à mettre en oeuvre pour favoriser le développement harmonieux de l'enfant et de l'adolescent.
Un entretien avec David Le breton, professeur de sociologie à l'Université de Strasbourg et membre de l'Institut de France. Animé par Françoise Puig, éducatrice spécialisée, directrice de l'établissement pour adolescents et membre d'Anthéa.
"Les conduites à risque sont pour les jeunes générations en détresse, une forme de résistance. Ce sont des tentatives de vivre et non des tentatives de suicide. Ce sont des appels à vivre, des actes de passage, rarement des pathologies, ce sont des anthropo-logiques. Ce sont des jeunes qui ont besoin de passeurs, de compagnons de route, d'éducateurs qui leur donne envie de grandir."
Jean-Benoît a dix-sept ans et débute un apprentissage de mécanicien diéséliste. Entre le garage où il travaille, la relation amoureuse avec Hélèna, les rapports conflictuels avec sa mère, le film montre l'incapacité de Jean-Benoît à apprendre et sa difficulté à sortir d'une enfance marquée par la disparition de son père... Pendant deux ans, le réalisateur a suivi ce gamin en difficultés de la banlieue rouennaise, faisant de son apprentissage la métaphore de sa reconstruction. Une aventure qui n'est pas sans vicissitudes. Jean-Benoît esquive le travail, la caméra, refuse d'aborder le passé. Le réalisateur tend un miroir à l'adolescent qui ne lui renvoie pas l'image rassurante dont il rêve. Le film parle du passage douloureux de l'enfance à l'âge adulte, de la difficulté d'apprendre, du besoin de trouver sa place au sein d'une communauté. Mais au coeur du film, il y a surtout une relation intime, pudique, complexe entre le cinéaste et le jeune, une rencontre de cinéma qui peut changer la vie.
Note: Le film est accompagné d'un livret qui reprend - entre autres - un entretien avec le réalisateur Didier Nion.
Une collection d'entretiens avec de grands praticiens (pédiatre, psychologue, pédopsychiatre, anesthésiste, juge pour enfants, professeur de philosophie,...) qui exposent leurs réflexions et abordent les difficultés, abus et carences dont sont victimes les enfants et les adolescents au sein de la famille ou de l'école.
Moyen d'information pour un travail individuel ou support d'animation collective, les entretiens sont conçus comme outil de réflexion destiné aux professionnels de la santé, de l'enfance et de la famille. Ils sont également conseillés aux parents qui s'interrogent sur les problématiques développées. L'objectif est d'engager la réflexion sur les moyens à mettre en oeuvre pour favoriser le développement harmonieux de l'enfant et de l'adolescent. Un entretien entre Anne-Marie Ourgias-Pérez, psychologue, orthophoniste, et Olivier Revol, psychiatre d'enfant.
Les causes d'échec scolaire sont multiples et doivent être explorées de façon rigoureuse, sans "à priori" théorique. Du retard simple aux troubles "dys", de l'instabilité à la dépression, le repérage des difficultés est un enjeu fondamental pour les enseignants et les familles. L'origine peut être instrumentale, due à un manque de moyens ou psychologique lorsque les compétences de l'enfant sont entravées par des préoccupations qui occupent l'espace psychique. Ce qui justifie une approche globale, "neuropsychiatrique", qui doit replacer le trouble d'apprentissage dans l'histoire de l'enfant et de la famille.
Une collection d'entretiens avec de grands praticiens (pédiatre, psychologue, pédopsychiatre, anesthésiste, juge pour enfants, professeur de philosophie,...) qui exposent leurs réflexions et abordent les difficultés, abus et carences dont sont victimes les enfants et les adolescents au sein de la famille ou de l'école.
Moyen d'information pour un travail individuel ou support d'animation collective, les entretiens sont conçus comme outil de réflexion destiné aux professionnels de la santé, de l'enfance et de la famille. Ils sont également conseillés aux parents qui s'interrogent sur les problématiques développées. L'objectif est d'engager la réflexion sur les moyens à mettre en oeuvre pour favoriser le développement harmonieux de l'enfant et de l'adolescent.
Un échange entre Nicole Catheline, pédopsychiatre et Daniel Marcelli, professeur en pédopsychiatrie.
"Il est courant de parler de séparation pour l'adolescent, mais a-t-il besoin de se séparer? De leur côté, les parents voient eux aussi avec inquiétude leur adolescent s'éloigner. Ne pas savoir où est son enfant est pour beaucoup de parents une inquiétude difficilement supportable. Si tout être humain a besoin de lien, il a aussi besoin de se sentir parfois séparé, autonome, différencié. Les liens se sont structurés dans l'enfance, l'autonomie s'élabore à l'adolescence. Dans cette discussion à deux voix, nous abordons les différents enjeux de cette séparation. L'impossibilité d'élaborer la séparation conduit à la pathologie de la dépendance..."
Ils s'appellent Hafid ou Faouzi, Joackim ou Oumatou, Dave ou Radwane. Ils ont de douze à quatorze ans, vivent cité du Luth à Gennevilliers (France) et étudient au collège Guy-Môquet. C'est dans l'enceinte protégée de l'établissement que le réalisateur a choisi de les rencontrer, seul à seul, avec pour stylo sa caméra et son micro. La salle de classe vide transformée en plateau, il les laisse s'exprimer, avec leurs mots, n'hésite pas à intervenir quand ceux-ci deviennent convenus. Nulle démagogie, mais une règle du jeu clairement posée: il est l'adulte qui entend donner à comprendre ce qu'on a dans la tête, lorsque l'on est au seuil de l'adolescence. Les jeunes disent l'enfance qui s'en va , la cité qui fait peur et qui fait envie, ils parlent du bien et du mal, de la religion et des résultats scolaires.
Le collection "Parole d'ados" propose des sujets qui concernent de près les adolescents. Son originalité est leur implication au niveau de la création des films, tant dans le contenu que dans la forme. Ainsi, ces films leur parlent vraiment.
La collection ouvre un espace pédagogique positif, susceptible de rencontrer l'intérêt du monde des enseignants et des éducateurs tout autant que celui des étudiants, du secondaire en particulier.
Il existe des millions de blogs à travers le monde. Simples et rapides à créer, on peut en quelques clics exposer sa vie. On crée un blog dans les années 2000 comme on ouvrait auparavant un journal intime. Une autre façon de s'ouvrir au monde... Les ados en raffolent, les adultes aussi, mais certains s'en méfient.
Mathilde, 15 ans, a créé son propre blog. Très vite, elle a été déçue par les commentaires faits sur celui-ci. Pire, elle s'est rendu compte, malgré l'utilisation d'un pseudonyme, qu'il serait facile pour quelqu'un qui la connaît de la reconnaître. Elles vont aller en Belgique, en Angleterre, à Paris, en ville ou à la campagne, pour rencontrer et comprendre ceux que l'on appelle les blogueurs. Auteurs de blogs amusants, noirs, sérieux... ils se livrent dans l'anonymat ou publiquement à des internautes pas toujours tendres.
La dépendance des adolescents aux jeux vidéos, aux Lanparty (jeux en réseaux), c'est avant tout une question de manque de repères et de valeurs données par les parents. C'est aussi un moyen d'entrer en contact avec des jeunes (ou des moins jeunes). A côté du rôle de régulateur joué par les parents, l'éducation aux médias des adolescents joue aussi un rôle fondamental. Si ces deux facteurs sont réunis, la dépendance ne peut s'installer.
Cyril, bientôt douze ans, n'a qu'une idée en tête: retrouver son père qui l'a placé provisoirement dans un foyer pour enfants. Il rencontre par hasard Samantha, qui tient un salon de coiffure et qui accepte de l'accueillir chez elle pendant les week-ends. Mais Cyril ne voit pas encore l'amour que Samantha lui porte, cet amour dont il a pourtant besoin pour apaiser sa colère...
Une fois encore, Jean-Pierre et Luc Dardenne reviennent sur la question du lien en suivant le parcours d'un enfant en quête d'amour parental. Une nouvelle leçon de cinéma épuré jusqu'à l'os, avec un récit sans temps morts, sans psychologie, sans pathos. Thomas Doret est prodigieux d'intériorité. Le film le plus tendre du duo.
Le documentaire lève le voile sur la face cachée du procès des grands criminels nazis à Nuremberg en se basant sur le livre "Les entretiens de Nuremberg" de Léon Goldensohn. Outre la salle d'audience et le verdict, il révèle l'intérieur et le quotidien de la prison où Goering, Streicher et les autres sont restés enfermés près d'un an. Dans l'intimité des cellules, un psychiatre américain rendait visite aux criminel de guerre nazis. Jour après jour, il tentait d'analyser leurs motivations, consignant dans de petits carnets la teneur de ces entretiens. Comment ces criminels se comportent-ils face au psychiatre? Sont-ils des hommes tristement ordinaires ou de dangereux psychopathes? Eprouvent-ils de la culpabilité lorsqu'ils sont confrontés aux horreurs dont ils sont responsables?... Telles sont les questions, fondamentales et toujours actuelles, que ce film aborde. Il livre en même temps des connaissances à la compréhension du régime nazi et du procès de Nuremberg
Le collection "Parole d'ados" propose des sujets qui concernent de près les adolescents. Son originalité est leur implication au niveau de la création des films, tant dans le contenu que dans la forme. Ainsi, ces films leur parlent vraiment.
La collection ouvre un espace pédagogique positif, susceptible de rencontrer l'intérêt du monde des enseignants et des éducateurs tout autant que celui des étudiants, du secondaire en particulier.
Ce film est le premier documentaire francophone donnant la parole à des enfants élevés par des couples non mixtes. Emmy-lou, seize ans, vit depuis le divorce de ses parents, une semaine sur deux avec son père et sa belle-mère et l'autre avec sa mère et sa belle-mère. Car la maman d'Emmy-Lou a choisi de vivre avec une femme et d'avoir un enfant avec elle, Ferdinand six mois. Du côté de son père et de sa nouvelle femme, elle a aussi un petit frère de cinq ans, Jim.
En compagnie de son grand-frère Eliott, dix-huit ans, Emmy-Lou témoigne de cette situation: mes parents sont gays, et alors? Pourtant ce n'est pas si simple: comment le dire à ses amis, comment vivre la pression de l'école, accepter le regard des autres? Et si cette situation ne leur pose pas de problème particulier, ils décident de rencontrer d'autres adolescents élevés comme eux dans des familles homoparentales. C'est ainsi qu'ils vont croiser Wendy, treize ans, originaire du Salvador, adoptée par un couple de femmes et Charles et Dorothée, des jumeaux de seize ans nés par insémination artificielle et élevés par leur maman et amie. Ensemble, ils s'interrogent sur le modèle parental et leur propre identité sexuelle et sur les conséquences de l'absence d'un père.
A travers reportages et entretiens, le magazine de la rédaction de France 2 présenté par Françoise Joly et Guilaine Chenu aborde tout ce qui fait l'actualité internationale. Loin du sensationnalisme arbitraire, les grands reporters d'Envoyé spécial scrutent la réalité, décortiquent la situation et rencontrent les protagonistes afin de poser un autre regard et de découvrir une autre vérité.
Le racket est sans doute la forme de violence la plus redoutée par les jeunes. En 1999, le racket représentait dix-sept pour cent des faits violents survenus en milieu scolaire et traités par les services de police. Soixante pour cent des cas de racket se déroulent aux abords des établissements scolaires. Des groupes de jeunes ciblent leur victime à la sortie des cours. Les racketteurs utilisent l'intimidation, la menace ou la violence afin d'obtenir un portable, de l'argent ou des vêtements de marques. Au cours de l'enquête, Envoyé spécial a pu rencontrer Farida, une racketteuse qui est devenue la terreur de son quartier et a également pu suivre une brigade anti-criminalité, qui tente d'opérer des flagrants délits aux abords des lycées et collèges. Souvent les jeunes victimes refusent de parler. Elles ont peur des représailles et ne veulent par apparaître comme des "balances". La loi du silence est omniprésente. Elle peut aboutir à des situations de souffrance... Valérie a vécu un vrai calvaire pendant toute une année scolaire.
Note: Texte extrait du dossier de presse de France 2 proposé par le Service éducatif. Document d´information générale sur le racket. Images réelles. Images à visage caché. Interviews de racketté et racketteur. Commentaire voix off. Musique.
Contenu
Il y a 60 % des cas de racket qui se déroulent aux abords des établissements scolaires. Des groupes de jeunes ciblent leur victime à la sortie des cours. Les racketteurs utilisent l´intimidation, la menace ou la violence afin d´obtenir un portable, de l´argent ou des vêtements de marques. Envoyé Spécial a pu rencontrer Farida, une racketteuse qui est devenue la terreur de son quartier et a également pu suivre une Brigade Anti-Criminalité, qui tente d´opérer des flagrants délits aux abords des lycées et collèges. Souvent les jeunes victimes refusent de parler. Elles ont peur des représailles et ne veulent pas apparaître comme des «balances».
La loi du silence est omniprésente. Elle peut aboutir à des situations de souffrance... Valérie a vécu un vrai calvaire pendant toute une année scolaire.
Intervenants
Brigitte Chenevoy, responsable « Jeunes Violences Ecoute » ; Redda, membre du BAC (Brigade anti-criminalité) ; François Giordani, juge pour enfants -Strasbourg, Viviane Guiny, principale du Collège de Chilly- Mazarin ; des racketteurs, des victimes et des parents
DVD 1 (108'): En filmant, jour après jour, pendant quatorze semaines, les protagonistes de la classe-relais du collège Paul Bert à Évreux, le document nous montre comment vivent au quotidien les adolescents et les adultes engagés dans le dispositif. Un rétablissement scolaire? C'est la question que pose le titre. Rescolarisation ou resocialisation? C'est l'interrogation sur laquelle s'achève le document. Loin de se limiter à la problématique institutionnelle, le film révèle de vrais personnages, émouvants et authentiques: des adultes attentifs et courageux, animés par la conviction, et des jeunes qui demandent qu'on leur tende la main. De leur confrontation naît la force de ce film-citoyen. DVD 2 (210'): Une série d'entretiens avec l'auteur, avec les principaux intervenants et partenaires du dispositif au niveau local et national, à la direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse et à la Direction de l'Enseignement scolaire où l'on évoque la mise en place des "ateliers-relais".
Note: L'ensemble constitue une somme de références pour la formation des acteurs de ces dispositifs.
DVD comprenant deux films: le premier est destiné aux jeunes de 13 à 19 ans; le second est destiné plus spécifiquement aux adultes de la communauté éducative.
1. "Etat de violence" (26'): Les jeunes de 18 à 25 ans parlent de leur rencontre avec la violence à la maison, dans la rue ou à l'école: comment ils l'ont vécue, comment ils ont basculé à leur tour et comment ils s'en sont sortis. Leurs témoignages alternent avec une fiction basée sur un fait divers réel qui met en scène des jeunes tentés par des actes agressifs. Le film cherche à approcher au plus près l'attitude de violence à l'adolescence, qu'elle soit tournée vers les autres ou vers soi-même. Le message se veut foncièrement positif face à une situation qu'on juge trop souvent inéluctable. 2. "Comme une vague" (45'): Témoignages de jeunes de 18 à 25 ans concernés par la violence comme victimes, témoins ou agresseurs. Les récits sont commentés par un psychosociologue et rassemblés en trois thèmes: l'expérience de la violence, comment on bascule et comment on peut s'en sortir. Un outil de débat et de formation pour entrer au coeur de la problématique violente.
Note: Ce film a obtenu une mention spéciale du jury au festival Vidéopsy, Auxerre, 1997.
Bonus DVD: "Le paradoxe de l'adolescence" (20'): Interview exclusive du Professeur Philippe Jeammet, chef de service des adolescents à l'Institut mutualiste Montsouris Jordan.
Ce document est constitué de deux DVD comprenant des séquences vidéo et des ressources documentaires annexées. L'un est consacré à "comprendre", l'autre à "agir". Praticiens, universitaires, spécialistes, proposent expériences de terrain, travaux de recherche, analyses d'actions et de démarches, pour que la violence à l'école ne soit plus une fatalité. Par la richesse des analyses croisées de spécialistes, la diversité des réponses concrètes apportées, la variété des thèmes abordés: définitions, histoire, causes, représentations mentales, réactions, préventions, formation...
Complément des deux DVD: livret pédagogique de 28 pages.