Deux documentaires sur le thème de l'adolescence. 1. "Paroles d'ados": A quoi rêvent les ados? Quelles sont leurs aspirations, leurs craintes? Ce film leur donne la parole, témoignages spontanés, drôles ou émouvants sur des thèmes qui les touchent. Huit séquences: L'ennui - Boire, fumer - Se protéger du sida - En parler avec ses parents - Le regard des autres - Les filles et les garçons - Le sentiment amoureux - En fin de compte. (E. Bitoun, 30'). 2. "Avoir 17 ans": Portraits de cinq jeunes, filles et garçons passionnés par la nature, suivis tout au long de l'année du baccalauréat. Ils nous font part de leurs expériences... La caméra les suit au lycée et chez leurs parents. Ce film est une invitation au dialogue. (E. Bitoun, 30').
Bonus DVD: "Mes fiançailles avec Hilda": court métrage d'Eric Bitoun (18') - "Comme ça, j'entends la mer": court métrage de Hélène Milano (19').
Amour et insurrection, deux mots tracés sur le mur de la ville. Alain passe sans s'arrêter, il s'en est sorti de la came et de la rue.Aujourd'hui, il prépare une exposition photo, sa passion, qui lui a permis de retrouver la vie.
Le journaliste David Sheff (Steve Carell) et son talentueux fils Nic (Timothée Chalamet) s'entendent à merveille. Mais tout bascule quand David découvre que l'adolescent se drogue. Il met alors tout en oeuvre pour comprendre et sauver son fils. Mais comment sauver quelqu'un qui ne veut pas forcément l'être ? Faut-il se résigner à l'abandonner ? 'Beautiful Boy' raconte l'histoire vraie d'un amour inconditionnel entre un père et son fils.
Le thème de l'alcool et des polytoxicomanies abordé au travers de témoignages de jeunes et d'une fiction qui favorise l'identification d'un public adolescent. L'objectif est de faire comprendre aux jeunes les mécanismes qui peuvent conduire à l'alcoolisme. Un document à utiliser dans le cadre d'une discussion de groupe sur le rôle de la boisson et l'installation de la dépendance. L'alcool: un symptôme qui cache une façon de gérer son stress, sa dépression... Note: Il est conseillé à l'animateur de la discussion de voir au préalable la version longue destinée aux adultes intitulée "Je ne peux pas m'en passer" dans laquelle les témoignages des jeunes sont décodés par un psychothérapeute.
Reportage au sein d'un "Centre de crise " pour toxicomanes où l'on découvre la douleur, l'angoisse et les contradictions du coté des toxicos, les hésitations, la lucidité et malgré tout, l'optimisme du coté des soignants.
Dans ce dessin animé, les enfants sont la proie de Dent-en-or, vendeur de drogue et proxénète. Il n'est pas leur unique fournisseur car les échanges, les partages et les "deals" se font aussi entre amis. Un programme de prévention qui peut aider les jeunes enfants à parler de l'abus de substances nocives et à se poser des questions importantes sur la prise en charge de sa santé et sur l'amitié.
Du Quai 9 à Genève, un des rares locaux d'injection en Europe, aux coteaux du Valais, ce film nous montre des univers très dissemblables dans lesquels s'inscrivent différentes trajectoires de vie.
Sans complaisance mais sans jugement, avec un récit qui alterne entre la réalité brutale de l'addiction et la poésie d'images symboliques et évocatrices, ces témoignages rendent compte de l'intimité de six personnes entre 25 et 85 ans, qui nous exposent leurs vécus, leurs addictions, leurs années dans la rue, leurs combats contre les préjugés et la maladie psychiatrique, les affres de la dépendance et la force qu'il a fallu - pour certains - afin d'arriver à s'en sortir.
Les toxicomanies ne sont pas liées au milieu social ou culturel, chacun peut y être confronté. Le sentiment d'appartenance et de reconnaissance par le groupe est important. Le plaisir aussi, mais au-delà de cette première étape, l'assuétude devient un insoutenable fardeau. Et les situations de rupture auxquelles les toxicomanies aboutissent sont pénibles: solitude, rupture avec le milieu familial, délinquance, atteinte à la santé physique et mentale. En cas de toxicomanie lourde, des organismes spécialisés fonctionnent dans toute la Communauté française et des traitements individualisés avec une aide psychologique et sociale existent.
Se sortir de la drogue, c'est opérer un grand changement dans son existence, et il existe de très nombreuses structures en France, le problème c'est que les toxicomanes sont des gens qui ne demandent rien et qui s'excluent, et qu'il faut procéder au cas par cas. Explications du Dr Alain Morel, médecin-chef de Trait d'Union, du Dr Bertrand Lebeau médecin responsable du Centre Méthadone, de Patrick Bruant, responsable du Pavillon thérapeutique de Clamart ainsi que de Claude Jouven, responsable de l 'Antenne toxicomanie de la prison de Fresne.
Destiné à initier un débat, ce film présente les opinions, points de vue et expériences de jeunes d'âges et horizons différents, sur la consommation de drogue, articulés autour des thématiques : drogues ? plaisir ? liberté ? dépendance ? Les interviews évoquent les produits, les motifs et contextes de l'utilisation de drogue, ses effets et ses conséquences, la loi, les risques et la dépendance, la substitution.
Il n'y a pas de monde sans drogue, il n'y en a jamais eu. Or, les dispositions légales, essentiellement criminalisantes et répressives, n'ont pas réussi à éradiquer la circulation, la vente, le trafic, ni la consommation de drogues. Au contraire, les drogues sont de plus en plus présentes et facilement accessibles. La prohibition a même davantage renforcé les problèmes sociaux, sanitaires, sécuritaires,... qu'elle ne les a réglés. Ce film dresse un état des lieux des drogues en Europe et ouvre le débat sur une question qui nous concerne tous. Il présente également la proposition novatrice du Centre d'Action Laïque en faveur d'une réglementation du commerce des drogues. Un film réalisé dans le cadre de la campagne de réflexion du Centre d'Action Laïque en collaboration avec la Fédération des Maisons de la laïcité et la Fédération des Associations de Parents de l'Enseignement Officiel.
A travers le parcours de deux jeunes toxicomanes, ce film aborde la souffrance morale et psychologique des parents face à la toxicomanie de leur enfant. La réalisatrice a suivi durant de longs mois Cathy et Laurent sans rien cacher de leur existence ravagée ni des rechutes qu'ils accumulent... Les images, parfois crues, mettent en évidence la détresse des toxicomanes et révèlent l'état d'incompréhension, d'angoisse et de culpabilité dans lequel vivent leurs parents. Les témoignages, souvent bouleversants, ont pour objectif de déculpabiliser les familles et visent à les encourager à chercher de l'aide.
Comment réagir face à la toxicomanie de son enfant? Bien des parents sont démunis devant cette terrible réalité, et pourtant, avec le temps, ils doivent eux aussi vivre la dépendance, la délinquance, et même la violence de leur enfant. Las d'être livrés à eux-mêmes, des parents ont décidé de rompre le silence et ils témoignent. Ils racontent leur calvaire, les crises de manque, la prison, la désintoxication, les rechutes et dans certains cas, l'overdose, les comas, la mort... La réponse au problème n'est pas universelle. Chaque famille est différente et il appartient à chacune d'elles de découvrir sa solution, comme en témoignent un neuropsychiatre et des organisations de groupes de parents.
Des hommes et des femmes toxicomanes témoignent, avec courage et souvent à visage découvert, de leur combat contre ce qu'ils appellent le "produit", et de la difficulté d'en sortir. Au-delà du sevrage physique, toujours douloureux, c'est toute une vie qu'il faut reconstruire. Une réalité difficile pour la plupart des toxicomanes sans emploi, anciens détenus ou en rupture de famille... Un document réalisé à Bruxelles, Liège et Charleroi, et, notamment, à l'hôpital Brugmann et dans le centre de post-cure Trempoline.
La dépendance des adolescents aux jeux vidéos, aux Lanparty (jeux en réseaux), c'est avant tout une question de manque de repères et de valeurs données par les parents. C'est aussi un moyen d'entrer en contact avec des jeunes (ou des moins jeunes). A côté du rôle de régulateur joué par les parents, l'éducation aux médias des adolescents joue aussi un rôle fondamental. Si ces deux facteurs sont réunis, la dépendance ne peut s'installer.
Au cœur de Bruxelles, au carrefour de la richesse et de la pauvreté, Kamel vit heureux, entouré de sa famille et de ses amis. Un ami d'enfance fait soudain irruption dans sa vie. Commence alors la descente aux enfers d'un jeune toxicomane.
L'approche et le traitement de la toxicomanie requièrent des modalités d'intervention spécifiques. La prise en charge des toxicomanes est particulièrement complexe tant pour le milieu familial que pour les équipes thérapeutiques. Pour mieux détailler les divers modes de prise en charge existants et les problèmes qui peuvent surgir dans un milieu familial contraint par la présence d'un toxicomane, Agnès Lejeune s'entretient avec Jean-Pierre Jacques, psychanalyste au L.A.M.A., et avec Charles Lejeune, travailleur social à la Trace. L'émission est illustrée par des extraits des reportages suivants : " Dis-moi comment tu t'arrêtes " ; " Faut pas plonger " ; " La neige en tête " ; " L'expérience du projet L.A.M.A. " ; " Préviens-moi si tu m'aimes " et " Les territoires de la défonce ". "
LA FÊTE EST FINIE Fiction ()
Réalisateur :
Garel-Weiss Marie Pays :
France
- 2018
Prix du public - double prix d'interprétation féminine - Festival de Sarlat - Festival de Saint-Jean de Luz
C’est l’histoire d’une renaissance, celle de Céleste et Sihem. Arrivées le même jour dans un centre de désintoxication, elles vont sceller une amitié indestructible. Celle-ci sera autant une force qu’un obstacle lorsque, virées du centre, elles se retrouvent livrées à elles-mêmes, à l’épreuve du monde réel et de ses tentations. Le vrai combat commence alors, celui de l’abstinence et de la liberté, celui vers la vie.
Avec une équipe de six policiers, surnommée La Brigade Insolite, l'agent de police Al Arsenault est à l'origine d'une relation particulière entre policiers et toxicomanes du centre de Vancouver. Armée d'une caméra, la Brigade en uniforme consacre ses rondes de quartier à filmer, avec respect l'existence de jeunes toxicomanes. Le but est à la fois de créer un outil éducatif visant à prévenir la consommation de drogues chez les jeunes, mais aussi d'aider les toxicomanes à sortir de leur enfer.
C'est leur émouvante histoire que raconte "La Vie en Bleu", un percutant documentaire dans lequel des toxicomanes parlent ouvertement d'eux-mêmes et de ce qui les a jetés à la rue. S'ils ont choisi de témoigner, de se laisser filmer ainsi, c'est afin d'empêcher que d'autres ne connaissent le même cauchemar...