Des hommes et des femmes toxicomanes témoignent, avec courage et souvent à visage découvert, de leur combat contre ce qu'ils appellent le "produit", et de la difficulté d'en sortir. Au-delà du sevrage physique, toujours douloureux, c'est toute une vie qu'il faut reconstruire. Une réalité difficile pour la plupart des toxicomanes sans emploi, anciens détenus ou en rupture de famille... Un document réalisé à Bruxelles, Liège et Charleroi, et, notamment, à l'hôpital Brugmann et dans le centre de post-cure Trempoline.