Alors que la maladie d'Alzheimer continue d'affecter des millions de retraités Américains, Alive Inside : une histoire de musique et de mémoire révèle une percée dans le domaine, basée sur l'utilisation de la musique. Filmé pendant trois ans, des patients retrouvent une partie de leur mémoire à l'écoute de morceaux appartenant à leur passé, revenant parfois plusieurs décennies en arrière.
La maladie d'Alzheimer est une affection neurologique provoquant une forme de démence qui affecte les possibilités cognitives qui régressent tandis que le niveau de conscience du sujet est maintenu. Ce film illustre cette maladie de manière clinique et en donne un résumé médical.
ALZHEIMER, SI TU M'AVAIS LAISSE VIEILLIR Documentaire (13 min)
Réalisateur :
Pierre KRZYSZOWSKI Pays :
France
- 1989
Prix des "10 meilleurs films" aux Entretiens de Bichat 1989
Prix spécial du jury au 14e Festival de Lorquin
Le reflet supposé intact de la personnalité d'un dément sénile raconté de l'intérieur : on voit la progression de la maladie, des premiers troubles jusqu'au stade terminal.
Les découvertes concernant la maladie d'Alzheimer avancent. Le Professeur Françoise Forette, de l'hôpital Brocca, nous fait part des nouveaux diagnostiques et thérapeutiques existants.
Artiste peintre, Flore est atteinte de la maladie d’Alzheimer depuis plusieurs années. Elle a été “enfermée“ successivement dans deux institutions spécialisées. Les traitements l’avaient rendu aphasique, muette, elle ne savait plus ni marcher, ni manger, ni sourire. Elle est devenue de plus en plus violente, agressive, “ingérable“. Pour les médecins, la seule perspective, c’était le placement dans une maison “sécurisée“. Contre l‘avis général, son fils, Jean-albert Lièvre et sa fille, Véronique, décident de l’installer dans la maison de famille, en Corse, entourée d‘une équipe atypique. Là bas, pas à pas, mois après mois, pendant un an, elle va littéralement revenir à la vie. Dans le récit d’une renaissance inespérée, on découvre que la terrible maladie d’Alzheimer ne se guérit pas. Mais qu’on peut essayer de vivre avec. http://www.flore-lefilm.com/
On sait que plus de la moitié des personnes âgées sont atteintes de la maladie d'Alzheimer et que cette affection, indiscutablement liée à l'âge, va aller croissant avec le vieillissement de la population. Parallèlement aux recherches en laboratoire qui tentent de cerner les mécanismes impliqués et de mettre au point des médicaments, les soignants ont pris à coeur d'assurer une certaine qualité de vie pour les malades et leurs famille. Ainsi, aux stades les plus précoces, on table sur les capacités préservées pour entreprendre une rééducation de l'autonomie. Aux stades plus avancés, quand les facultés mentales s'estompent de plus en plus, c'est sur le plan affectif que l'on arrive à maintenir un contact aimant et respectueux jusqu'au bout. Sans compter le soutien à apporter aux familles, qui poussent souvent au-delà du supportable les limites de leur dévouement. Dans ce film, la priorité est apporté aux témoignages avec l'intervention du Professeur Ph. Meire, neuropsychiatre spécialisé dans les problèmes de vieillissement.
Sorte de démence présénile, la maladie d'Alzheimer frappe généralement après 65 ans mais elle peut apparaître dés la quarantaine. Elle se caractérise par la perte progressive des fonctions intellectuelles ; la déchéance physique achève de réduire le malade à l'état végétatif : il ne peut plus se nourrir, ni contrôler ses réactions. Actuellement, la médecine reste impuissante dans le combat contre ce mal, la mort en est toujours l'aboutissement. Elle constitue la quatrième cause de décès des personnes du 3ème âge. Des témoignages de proches, doublés d'images dramatiques de personnes atteintes et complétés par les commentaires d'un neurologue, d'un psycho-gériatre et d'un biochimiste tentent de cerner cet univers dans lequel vivent quelque cent mille personnes en Belgique.
Ce documentaire musico-scientifique retrace la vibrante expérience qu’ont vécue une quinzaine de personnes atteintes de troubles neurodégénératifs de type Alzheimer. Entre 2012 et 2013, grâce à des ateliers de musique et de tango, leur état s’améliore spectaculairement. Au son de la musique, au rythme du tango, ils retrouvent le sourire et la joie du partage. Tout au long de ce documentaire, les propos de grands spécialistes des maladies neurodégénératives, de chercheurs en neurologie, neuropsychologie et psychologie cognitive, d’artistes de plusieurs horizons apportent un éclairage scientifique, médical et humain sur cette métamorphose spectaculaire. Emouvant et vivifiant, « La Mélodie d’Alzheimer » invite à reconsidérer la manière dont notre société envisage la prise en charge des maladies neurodégénératives. Au-delà du simple témoignage, ce documentaire appelle de véritables réponses.
La maladie d'Alzheimer, les signes avant-coureurs, le diagnostic et la prise en charge du patient. En s'appuyant sur de nombreux témoignages dont ceux de proches, ce document rend compte avec sobriété et humanité du processus de déclin qui caractérise cette maladie : les pertes de mémoire, les difficultés quotidiennes et psychologiques auxquelles est confronté l'entourage, la prise en charge au domicile ou dans un centre d'accueil, les associations d'information et d'aide au malade et à sa famille (la Ligue Alzheimer,...), les relations avec les aidants familiaux... Un film destiné aux familles qui apprennent le diagnostic de la maladie d'un proche et qui devront faire face à un parcours long et incertain.
L'émission aborde différentes formes d'amnésies et de troubles de la mémoire. Les causes sont diverses: les maladies dégénératives (l'Alzheimer), les troubles psychiatriques (dépression, anxiété, stress), les pathologies neurologiques organiques (les tumeurs cérébrales, les accidents vasculaires), les problèmes liés à l'abus d'alcool (le syndrome de Korsakoff)... Des patients, leurs proches et des équipes thérapeutiques répondent aux questions de savoir quand il faut s'inquiéter, comment cerner les problèmes de mémoire et pallier aux difficultés.
Avec tact et émotion, la réalisatrice a filmé la progression des symptômes de la maladie d'Alzheimer chez sa mère et l'évolution de leur relation. Son premier désir de guérir l'inguérissable, d'agir sur les pertes de mémoire, la confusion de l'esprit et les obsessions de sa mère, fait petit-à-petit place à l'acceptation de la maladie et à la recherche d'une nouvelle relation, plus apaisée,... Un reportage hors du commun qui touchera tous ceux qui vivent le même drame et les mêmes difficultés face à une maladie en constante augmentation en Belgique
Septuagénaires paisibles vivant non loin de Hambourg, Gretel et Malte ont vécu les années soixante de manière très engagée – au point d’être fichés et surveillés par les autorités suisses, à l’époque où Malte enseignait à l’université. Couple indépendant, ils s’autorisaient par ailleurs ouvertement des aventures extra-conjugales tout en menant une vie de famille ordinaire et unie, forte de trois enfants ! Jusqu’au jour où, le soir du réveillon de Noël, Gretel sert en guise de repas une simple soupe et oublie les cadeaux… David, le benjamin, décide alors de faire un film pour faire durer les souvenirs le plus longtemps possible…
Le film qui suit de jour en jour Odette, atteinte de cette maladie, est un témoignage émouvant d’une histoire vraie, celle d’Odette, âgée de 88 ans. De ses séjours en accueil de jour à son entrée dans un EHPAD, en passant par les démarches et les interrogations de sa fille, ce documentaire apporte un témoignage émouvant sur les aspects de la maladie d’Alzheimer au fil du temps, d’abord au domicile puis en établissement spécialisé. D’une durée de 25 minutes, il décrit également le travail du personnel médicosocial dans l’accompagnement des malades, dans le respect de leurs choix. http://www.orne.fr/media/odette-alzheimer
Comment réagir face à la souffrance qu'engendre la dégénérescence de l'être aimé ? Comme un défi, Laurence Kirsch s'est attelée à filmer le parcours d'un homme et d'une femme confrontés à la maladie d'Alzheimer, ses parents. Objet de soin, objet d'investigation, de test, la personne malade redevient sujet au fur et à mesure du film. La vie s'organise avec et autour de lui en tenant compte de ce qu'il est et de ce qu'il vit. Nous sommes invités à partager l'intimité de la famille, cette proximité permet de capter des moments d'une rare intensité et de ressentir pleinement les émotions. Ce témoignage bouleversant montre ce qui se passe en termes de communication, de souffrance, de dit et de non-dit mais aussi de vie parce que Jean est vivant autrement.
L'administration provisoire des biens est réglée en Belgique par une loi de 1993. Elle intéresse tous ceux dont l'état de santé intellectuel ne leur permet plus de gérer leurs biens et leurs dettes. Les personnes à protéger sont généralement des malades mentaux mais également celles qui sont victimes de sénilité (maladie d'Alzheimer par exemple). Description des pratiques au regard des principes de la loi.
Claire a trente-deux ans et est persuadée d'être atteinte de la maladie d'Alzheimer, plutôt rare à son âge. Sa mère en est morte et Claire perd ses repères, oublie de plus en plus de choses. Malgré le scepticisme de son entourage, elle se rend dans un centre spécialisé pour les troubles de la mémoire et va apprendre à mettre des mots sur ses difficultés. Elle va aussi rencontrer Philippe qui a tout oublié après un accident qui a coûté la vie à sa femme et son enfant... Zabou réalise son premier film et réussit une fiction très documentée sur un sujet difficile et une belle histoire d'amour. Bernard Campan se révèle dans un registre inhabituel, Isabelle Carré est lumineuse.
Peu connue, mais très répandue, la maladie d'Alzheimer provoque la perte de contrôle progressive et irréversible des facultés mentales et physiques. S'appuyant sur de solides recherches, ce film de fiction rend compte des toutes premières étapes de l'évolution du mal et pose en corollaire la question suivante: quelle est la responsabilité de l'individu lorsqu'un de ses proches en arrive à perdre autonomie, dignité, intelligence, vie?
En septembre 2018, j'ai décidé de filmer ma grand-mère, Annie, 96 ans, atteinte de maladie d'Alzheimer. J'ai voulu saisir les hauts et les bas de la maladie au rythme des visites de ses proches ; de la perte de ses repères jusqu'à ses instants de joie et de lucidité retrouvée.
L’entrée en institution pour les personnes souffrant d’Alzheimer est une séparation douloureuse et nécessaire avec les familles. Gestes d’humanité des soignants et étincelles de vie à l’hôpital de Firminy où la qualité des liens et les animations collectives stimulantes font la différence.