Le journaliste David Sheff (Steve Carell) et son talentueux fils Nic (Timothée Chalamet) s'entendent à merveille. Mais tout bascule quand David découvre que l'adolescent se drogue. Il met alors tout en oeuvre pour comprendre et sauver son fils. Mais comment sauver quelqu'un qui ne veut pas forcément l'être ? Faut-il se résigner à l'abandonner ? 'Beautiful Boy' raconte l'histoire vraie d'un amour inconditionnel entre un père et son fils.
Reportage au sein d'un "Centre de crise " pour toxicomanes où l'on découvre la douleur, l'angoisse et les contradictions du coté des toxicos, les hésitations, la lucidité et malgré tout, l'optimisme du coté des soignants.
COMMENT JE M'EN SORS? (52 min)
Réalisateur :
R MOREAU
- 1999
Prix des dix meilleurs films au Festival du film médical des entretiens de Bichat 1999
"Comment je m'en sors?" est la question obsédante pour toutes les personnes en recherche d'insertion. Jeune chômeur, toxicomane, ex-détenu, chacun fait son chemin... Durant six mois, le film suit huit jeunes en quête d'un travail, d'une formation, mais surtout d'une place dans la société. Ils expriment leurs rêves, leurs difficultés et leurs espoirs. Derrière ces témoignages, il y a la souffrance que l'on cache...
Dans ce dessin animé, les enfants sont la proie de Dent-en-or, vendeur de drogue et proxénète. Il n'est pas leur unique fournisseur car les échanges, les partages et les "deals" se font aussi entre amis. Un programme de prévention qui peut aider les jeunes enfants à parler de l'abus de substances nocives et à se poser des questions importantes sur la prise en charge de sa santé et sur l'amitié.
Les toxicomanies ne sont pas liées au milieu social ou culturel, chacun peut y être confronté. Le sentiment d'appartenance et de reconnaissance par le groupe est important. Le plaisir aussi, mais au-delà de cette première étape, l'assuétude devient un insoutenable fardeau. Et les situations de rupture auxquelles les toxicomanies aboutissent sont pénibles: solitude, rupture avec le milieu familial, délinquance, atteinte à la santé physique et mentale. En cas de toxicomanie lourde, des organismes spécialisés fonctionnent dans toute la Communauté française et des traitements individualisés avec une aide psychologique et sociale existent.
Se sortir de la drogue, c'est opérer un grand changement dans son existence, et il existe de très nombreuses structures en France, le problème c'est que les toxicomanes sont des gens qui ne demandent rien et qui s'excluent, et qu'il faut procéder au cas par cas. Explications du Dr Alain Morel, médecin-chef de Trait d'Union, du Dr Bertrand Lebeau médecin responsable du Centre Méthadone, de Patrick Bruant, responsable du Pavillon thérapeutique de Clamart ainsi que de Claude Jouven, responsable de l 'Antenne toxicomanie de la prison de Fresne.
Destiné à initier un débat, ce film présente les opinions, points de vue et expériences de jeunes d'âges et horizons différents, sur la consommation de drogue, articulés autour des thématiques : drogues ? plaisir ? liberté ? dépendance ? Les interviews évoquent les produits, les motifs et contextes de l'utilisation de drogue, ses effets et ses conséquences, la loi, les risques et la dépendance, la substitution.
A travers le parcours de deux jeunes toxicomanes, ce film aborde la souffrance morale et psychologique des parents face à la toxicomanie de leur enfant. La réalisatrice a suivi durant de longs mois Cathy et Laurent sans rien cacher de leur existence ravagée ni des rechutes qu'ils accumulent... Les images, parfois crues, mettent en évidence la détresse des toxicomanes et révèlent l'état d'incompréhension, d'angoisse et de culpabilité dans lequel vivent leurs parents. Les témoignages, souvent bouleversants, ont pour objectif de déculpabiliser les familles et visent à les encourager à chercher de l'aide.
Dans le cas présenté ici, l'expérience délirante primaire semble contemporaine d'une intoxication par le haschisch. Film très court où l'on observe une pensée lâche, diffluente, mais le sujet en relatant ce vécu ébauche déjà une critique de l'épisode délirant.
Comment réagir face à la toxicomanie de son enfant? Bien des parents sont démunis devant cette terrible réalité, et pourtant, avec le temps, ils doivent eux aussi vivre la dépendance, la délinquance, et même la violence de leur enfant. Las d'être livrés à eux-mêmes, des parents ont décidé de rompre le silence et ils témoignent. Ils racontent leur calvaire, les crises de manque, la prison, la désintoxication, les rechutes et dans certains cas, l'overdose, les comas, la mort... La réponse au problème n'est pas universelle. Chaque famille est différente et il appartient à chacune d'elles de découvrir sa solution, comme en témoignent un neuropsychiatre et des organisations de groupes de parents.
Des hommes et des femmes toxicomanes témoignent, avec courage et souvent à visage découvert, de leur combat contre ce qu'ils appellent le "produit", et de la difficulté d'en sortir. Au-delà du sevrage physique, toujours douloureux, c'est toute une vie qu'il faut reconstruire. Une réalité difficile pour la plupart des toxicomanes sans emploi, anciens détenus ou en rupture de famille... Un document réalisé à Bruxelles, Liège et Charleroi, et, notamment, à l'hôpital Brugmann et dans le centre de post-cure Trempoline.
Tourné à la maison d'arrêt de Metz dans le service médico-psychologique régional (SMPR), ce film montre le dépistage et la prise en charge des troubles psychiatriques des détenus à travers les consultations et l'hospitalisation de jour. Quatre catégories de pathologies sont présentées : pathologies psychotiques, troubles réactionnels à l'incarcération, toxicomanie, infractions à caractère sexuel. Leur prise en charge psychiatrique est décrite. Le film donne notamment la parole à des soignants et à des détenus. Les relations entre équipe soignante et administration pénitentiaire de même que certaines questions éthiques sont également abordées.
En racontant l'histoire de Jean-François, l'émission tente de comprendre pourquoi un jeune homme, toxicomane léger, en est venu à se donner la mort avec le revolver de son père, garde forestier. Dans une première partie, les parents et les amis témoignent et remontent le cours de la vie de Jean-François: son adolescence, ses doutes, ses angoisses, le hachisch, son arrestation, la prison, l'internement, la liberté sous contrat avec un centre de guidance... Dans une deuxième partie, l'émission fait appel aux témoins du parcours institutionnel assez décousu et incohérent qu'a suivi Jean-François, entre deux diagnostics différents: celui du malade mental incapable de contrôler ses actes, et celui du toxicomane responsable de ses choix. Pourquoi, en dépit de toutes les bonnes volontés, un jeune homme a-t-il été mis face à un choix impossible?
Au cœur de Bruxelles, au carrefour de la richesse et de la pauvreté, Kamel vit heureux, entouré de sa famille et de ses amis. Un ami d'enfance fait soudain irruption dans sa vie. Commence alors la descente aux enfers d'un jeune toxicomane.
L'approche et le traitement de la toxicomanie requièrent des modalités d'intervention spécifiques. La prise en charge des toxicomanes est particulièrement complexe tant pour le milieu familial que pour les équipes thérapeutiques. Pour mieux détailler les divers modes de prise en charge existants et les problèmes qui peuvent surgir dans un milieu familial contraint par la présence d'un toxicomane, Agnès Lejeune s'entretient avec Jean-Pierre Jacques, psychanalyste au L.A.M.A., et avec Charles Lejeune, travailleur social à la Trace. L'émission est illustrée par des extraits des reportages suivants : " Dis-moi comment tu t'arrêtes " ; " Faut pas plonger " ; " La neige en tête " ; " L'expérience du projet L.A.M.A. " ; " Préviens-moi si tu m'aimes " et " Les territoires de la défonce ". "
LA FÊTE EST FINIE Fiction ()
Réalisateur :
Garel-Weiss Marie Pays :
France
- 2018
Prix du public - double prix d'interprétation féminine - Festival de Sarlat - Festival de Saint-Jean de Luz
C’est l’histoire d’une renaissance, celle de Céleste et Sihem. Arrivées le même jour dans un centre de désintoxication, elles vont sceller une amitié indestructible. Celle-ci sera autant une force qu’un obstacle lorsque, virées du centre, elles se retrouvent livrées à elles-mêmes, à l’épreuve du monde réel et de ses tentations. Le vrai combat commence alors, celui de l’abstinence et de la liberté, celui vers la vie.
Filmé pendant le tournage de "Femmes de Fleury", Laurence est le portrait d'une jeune femme de 33 ans, prostituée, toxicomane, sidéenne. Jean-Michel Carré l'a suivie à l'intérieur et à l'extérieur de la prison pendant ses premiers jours de liberté, qui furent aussi les derniers jours de sa vie.
Une tentative inédite de gérer la toxicomanie au quotidien: une expérience menée à Liège dans un lieu d'accueil et de premiers soins pour les toxicomanes. L'équipe pluridisciplinaire de "Start" (médecin, éducateur, assistant social,...) situe son intervention à la frontière entre soins médicaux et volonté d'encadrement. Un reportage basé sur les témoignages de toxicomanes qui racontent leur descente aux enfers et leur galère quotidienne.
Titre donné par le jeune homme qui nous révèle, dans ce document, sa trajectoire de «schizophrène» avec une prise de conscience extraordinaire de son vécu douloureux, du rôle des neuroleptiques sur ses pensées et de leurs mécanismes neurobiochimiques. Il nous donne également, parfois avec humour, une leçon de sagesse et d’humilité qui s’inscrit dans une perspective de prévention quant à l’utilisation du haschich qui a été, pour lui, le déclencheur de ses troubles psychiatriques.