1. " Ecole maternelle et psychomotricité " : L'école maternelle est une étape capitale de l'apprentissage de l'enfant. Depuis plusieurs années, les institutrices maternelles bénéficient de l'apport de la théorie de la psychomotricité, une méthode qui vise à combiner les développement moteur, intellectuel et affectif de l'enfant. Le reportage montre les caractéristiques de cet apprentissage à la gestion de l'espace et les rapports entre psychomotricité et enseignement de l'écriture ou de la mathématique. 2. " Le 5-8 " : Afin de combattre l'échec et les redoublements, les classe de troisième maternelle, première et deuxième primaire sont regroupées en une période appelée 5-8. Les apprentissages de la lecture, de l'écriture et des mathématiques s'étalent sur trois années, au rythme de chaque enfant. L'organisation et les objectifs de cette méthode sont présentés. 3. " La pédagogie Freinet " : Apprendre aux enfants à s'organiser et à mieux assumer leurs responsabilités est une des ambitions de la pédagogie Freinet. Elle donne à l'enfant les outils qui lui permettent d'apprendre par lui-même, d'acquérir une méthode de travail, d'apprendre à apprendre ... Témoignages.
A travers reportages et entretiens, le magazine de la rédaction de France 2 présenté par Françoise Joly et Guilaine Chenu aborde tout ce qui fait l'actualité internationale. Loin du sensationnalisme arbitraire, les grands reporters d'Envoyé spécial scrutent la réalité, décortiquent la situation et rencontrent les protagonistes afin de poser un autre regard et de découvrir une autre vérité.
Jadis, on l'appelait l'école buissonnière. Aujourd'hui, l'absentéisme des élèves est considéré comme un véritable fléau par l'Education nationale. C'est même "la plus grave des maladies scolaires" selon la très sérieuse Inspection générale. Aucun établissement n'y échappe. De la sixième à la terminale, l'absentéisme régulier touche environ 13 % des élèves du second degré, et jusqu'à un lycée sur deux dans certaines filières professionnelles. Que font-ils quand ils ne vont pas en cours? Que cachent leurs absences répétées?... Dans les collègues et les lycées, enseignants et équipes pédagogiques se battent pour ramener vers l'école des ados dont l'absentéisme est bien souvent le signe d'un malaise profond: les difficultés familiales, l'échec scolaire, jalonnent ces parcours chaotiques. Entre des parents parfois laxistes, et des sanctions administratives lourdes, comme la suppression des allocations, familiales pour manquement à l'obligation scolaire, l'école tente de trouver d'autres solutions pour empêcher les élèves de "décrocher". Car des journées en semaines d'absences, puis en mois, c'est la déscolarisation définitive qui guette ces jeunes, et, à long terme, des années de galère.
Note: Texte extrait du dossier de presse de France 2 proposé par le Service éducatif.
Les milieux scolaires primaires sont déjà très sensibilisés à l’importance de la prévention de la violence. Ils sont conscients qu’il faut agir tôt au moment où les enfants sont encore ouverts aux influences positives. Mais comment agir de façon efficace ? Comment entreprendre une démarche de prévention qui donnera des résultats ? Quels sont les outils et les programmes disponibles ? Ce document vidéo veut non seulement proposer aux écoles primaires un certain nombre d’activités et de programmes visant à promouvoir des conduites pacifiques et égalitaires mais aussi à donner des pistes de réflexion sur les principales étapes à franchir pour entreprendre et réussir une démarche de prévention. Livret : Un guide d’intervention de 54 pages accompagne le document vidéo.
Le programme "Anim'action" propose une rencontre entre écoles et monde culturel, entre élèves et artistes pendant le temps scolaire dans les écoles francophones de la région bruxelloise. L'objectif est de développer des actions culturelles, artistiques et créatrices à l'école en partenariat avec le monde associatif. Trois projets sont présentés. 1. L'axe lecture: découverte du plaisir de lire dans ses aspects relationnels et créatifs. Tous les quinze jours, un même rituel conduit les enfants au plaisir des livres, des histoires et de la lecture. Trois histoires sont racontées par une conteuse aux enfants d'une classe maternelle en présence de leurs mamans. 2. L'axe culture: la pratique créatrice en liaison avec la rencontre d'oeuvres artistiques ou culturelles. Deux artistes plasticiens rencontrent des élèves arrivés depuis peu en Belgique et tentent de leur faire vivre une expérience de création. 3. L'axe éducation permanente: une citoyenneté active et la pratique de la démocratie par l'ouverture de l'école à son environnement social et culturel. Une animatrice du Creham et un éducateur montent une pièce de théâtre sur le thème de l'intolérance dans laquelle se mêlent chant, cirque, rap et break dance.
Le programme "Anim'action" propose au sein de l'enseignement francophone de la région bruxelloise une rencontre entre écoles et monde culturel, entre élèves et artistes. L'objectif est de développer des actions culturelles, artistiques et créatrices à l'école en partenariat avec le monde associatif. Trois projets sont présentés: 1. L'axe lecture, "De mains et de mots": Tout un univers de rêve, celui des contes et des histoires racontés aux enfants, s'est créé autour de Chantal et Lisy. Elles sont conteuses et s'adressent, chacune dans leur langage, à des enfants sourds et malentendants. La langue des signes et le langage parlé se côtoient pour ouvrir les portes à l'imaginaire et à la créativité des enfants. 2. L'axe culture, "Approche de la danse contemporaine et de la musique": Pendant que Pierre Rubio, danseur, initie une classe à la "danse contact" et à l'improvisation, Alexandre Furnelle, contrebassiste, entraîne un groupe d'une autre école à construire des instruments de musique avec des objets de récupération (verres, pièces de vélo, pots de fleurs,...). L'orchestre ainsi formé accompagnera la chorégraphie. 3. L'axe éducation permanente, "Jardins mobiles": Imaginer d'abord les costumes: les dessiner, envisager les matières intéressantes à utiliser, les coudre, les essayer... Imaginer encore des chars légers, sans moteur... Mixer le tout avec un des groupes de la Zinneke parade 2002!
BOWLING FOR COLUMBINE Documentaire (2h00)
Réalisateur :
Michaël MOORE Pays :
Etats-Unis
- 2002
Prix du 55ème anniversaire du Festival de Cannes (2002), le César du meilleur film étranger (2003) et l'Oscar 2003 du meilleur documentaire
Avec plus de 10.000 meurtres par arme à feu chaque année, les États-Unis détiennent le triste record mondial d'homicides et d'agressions au quotidien... S'inspirant du fait divers de la tuerie à la Columbine High School, au Colorado, Michael Moore critique l'industrie de l'armement aux États-Unis, la liberté avec laquelle les citoyens américains peuvent se procurer des armes, ainsi que le laxisme de l'État en matière de législation en la matière. Par ses investigations réalisées au moyen d'analyses chiffrées, d'images d'archives et d'interviews (dont celle de Charlton Heston, chef de file de la National Riffle Association), Michael Moore tente de cerner les facteurs qui poussent la population américaine à se retrancher dans la violence. Il dresse un bilan provocateur, à la fois terrifiant et drôle, d'une nation où 250 millions d'armes à feu sont en circulation.
DE LA FONQUITURE SUR LE PODOGGAN Reportage (28 min)
Réalisateur :
Pierre FRANCOIS Pays :
France
- 1996
Prix Roger Malingrey, Grand Prix du festival National Audiovisuel en orthophonie, Nancy 1996
Combattre l'échec scolaire et la désinsertion sociale... Environ 10 % des enfants présentent des troubles d'apprentissage souvent mal connus : ce sont les dyslexies, dysphasies, dyscalculies qui, faute d'être identifiées, font taxer ces enfants de paresse, de désintérêt, d'immaturité. Pouvoir déceler ces troubles pour y apporter une réponse appropriée nécessite d'en connaître les manifestations. Ce film propose de les découvrir dans leur diversité. Il s'adresse aussi bien aux famille qu'aux professionnels du secteur de l'enfance. Prix Roger Malingrey, Grand Prix du festival National Audiovisuel en orthophonie, Nancy 1996
Ce film présente une partie du travail réalisé à l'école ouverte des Bourseaux à Saint Ouen L'Aumone (95). Enseignants, personnels de service, ASEM, animateurs du CLAE, essaient, depuis 9 ans de "travailler autrement", en y associant les parents. Le parti pris du réalisateur a été sur les adultes qui témoignent de leurs pratiques, de leurs difficultés, de leur vie d'équipe...
Cinq à dix pour cent des enfants connaissent de lourdes difficultés à l'apprentissage de la lecture et de l'écriture: ils sont dyslexiques. Certains décrochent de l'enseignement ordinaire dès l'école primaire. Mais des dyslexiques célèbres s'en sont pourtant pas trop mal sortis: Einstein, Churchill, Spielberg, Tom Cruise,... Enquête pour tenter de comprendre la situation des enfants dyslexiques, comment les aider et si des séquelles existent à l'âge adulte
L'échec scolaire interpelle les enseignants, les psychologues et fréquemment les équipes de pédopsychiatres. Chaque partenaire concerné appréhende cette notion sous des angles différents. L'objectif de ce document est de permettre de mieux comprendre les articulations nécessaires entre ces partenaires. Il doit aider les parents, les enseignants, les membres des équipes de CCPE, CDES à mieux se situer dans l'approche et la lutte contre l'échec scolaire... Une réflexion sur le concept de prévention y est également proposée.
Une rencontre avec plusieurs enfants atteints de handicap mental qui ont pu trouver leur place dans l'enseignement ordinaire. Malheureusement, pour certains enfants, cette expérience s'est avérée négative; ils ont dû réintégrer l'enseignement spécial qui répond mieux à leurs difficultés.
A Francheville, près de Lyon, des bénévoles se regroupent pour apporter un soutien scolaire aux enfants français et immigrés en situation d'échec à l'école. Cette action mobilise à la fois étudiants et retraités, qui trouvent dans ces enfants défavorisés comme leurs petits enfants. Cette action est-elle une béquille à l'Education Nationale ? En tous cas, les parents témoignent que leurs enfants bénéficiaires de cette entraide sont plus heureux à l'école.
ÊTRE ET AVOIR Documentaire (1h14)
Réalisateur :
Nicolas PHILIBERT Pays :
France
- 2002
Prix Louis Delluc 2002, Meilleur film français de l'année
Nicolas Philibert a posé sa caméra pendant dix semaines dans une classe unique d'un petit village du Puy-de-Dôme. Cette école ancienne regroupe treize enfants d'âges très différents. L'instituteur doit composer avec cette disparité et donner à chacun l'enseignement qui correspond à son niveau, de la maternelle au CM2. Il a lui-même 55 ans et est à moins de deux ans de la retraite. Le maître accompagne cette petite communauté dans l'apprentissage de la vie avec son lot de questions, de blessures et de joies... Un film qui, dans sa simplicité, est une méditation à la fois grave et gaie sur la pédagogie, la vie rurale, le passage du temps, l'évidence et la beauté du quotidien.
Ils s'appellent Hafid ou Faouzi, Joackim ou Oumatou, Dave ou Radwane. Ils ont de douze à quatorze ans, vivent cité du Luth à Gennevilliers (France) et étudient au collège Guy-Môquet. C'est dans l'enceinte protégée de l'établissement que le réalisateur a choisi de les rencontrer, seul à seul, avec pour stylo sa caméra et son micro. La salle de classe vide transformée en plateau, il les laisse s'exprimer, avec leurs mots, n'hésite pas à intervenir quand ceux-ci deviennent convenus. Nulle démagogie, mais une règle du jeu clairement posée: il est l'adulte qui entend donner à comprendre ce qu'on a dans la tête, lorsque l'on est au seuil de l'adolescence. Les jeunes disent l'enfance qui s'en va , la cité qui fait peur et qui fait envie, ils parlent du bien et du mal, de la religion et des résultats scolaires.
Trois fictions de courte durée et une séquence d'un spectacle théâtral joué dans une classe pour sensibiliser les enfants aux différents types d'abus sexuels dont ils peuvent être victimes. Les histoires mettent des enfants en scène et évoquent des situations auxquelles ils peuvent s'identifier. Le document suscite le dialogue et la prise de parole de l'enfant. Il favorise chez l'adulte la reconnaissance des signes de détresse de l'enfant. Première partie: 1."Signaux de larmes... signaux d'alarme" -2."J'te crois... j'te crois pas" -3."Je dois dire... non!" - Deuxième partie: "Peau d'âne". Note: Dans le cadre scolaire (primaire deuxième degré) et familial, une vision accompagnée est requise. L'utilisation séquentielle est recommandée.
L'école maternelle, lieu de socialisation et d'apprentissage, est le théâtre quotidien d'actes agressifs entre les enfants. Comment les adultes, enseignants et parents réagissent-ils, répondent-ils? Ce film, tourné dans deux écoles au cours d'une année scolaire, alterne des séquences d'observation prises sur le vif, des interviews d'enfants et d'adultes et des séquences spécifiques proposées par les enseignants à leurs élèves, envisagées comme des réponses possibles au problème de l'agression. Quatre thèmes sont abordés: Socialisation - Agression - Violence - Intervention. Note: Ce film permet d'animer des séquences de formation avec les instituteurs et les acteurs de la communauté éducative, et intéressera également tout parent d'élève. Il est accompagné d'un livret pédagogique.
Trop de parents considèrent l'école maternelle comme une garderie. Les enjeux de l'enseignement maternelle sont importants pour la suite de la scolarité. L'émission fait un tour d'horizon des différents méthodes pratiquées dans les classes maternelles. De plus en plus d'écoles ont adopté les classes ateliers qui ont pour objectifs l'autonomie de l'enfant et la coopération dans les activités. Le développement de l'éveil par la psychomotricité permet à l'enfant d'exprimer ses tensions et son agressivité dans un milieu sécurisant et selon des lois précises. Les reportages sont entrecoupés des témoignages d'institutrices d'écoles maternelles et de psychologues ainsi que de celui du Professeur Dehant, de l'U.C.L., spécialiste en didactique des maternelles, autour d'un projet pilote non directif à l'Institut Saint-Aubin.
Chacun des 26 épisodes de la série "L'éducation en questions" se propose d'aborder, à travers l'oeuvre et l'expérience d'un pédagogue qui a marqué l'histoire de l'éducation, une question particulière, illustrée par des situations contemporaines. "L'émission ne pose pas seulement des questions frontales auxquelles les universitaires répondent souvent par des propos touffus, que les médias évitent, qui évoquent la complexité des rapports entre adultes et enfants, et qui semblent à tort propres à l'époque actuelle. Le documentaire répond en évitant le piège des recettes. Il rappelle plutôt la mémoire enfouie de ceux qui ont déjà pensé sur ce thème" (Le Figaro). "Cela aurait pu être austère, ennuyeux, jargonneux. C'est au contraire captivant" (Le Monde). Volume 1, épisodes 1 à 4: Janus Korczak (1878-1942): "Comment surseoir à la violence?" Maria Montessori (1870-1952): "Peut-on apprendre à être autonome?" Célestin Freinet (1896-1966): "Comment susciter le désir d'apprendre?" Fernand Oury (1920-1997): "Y-a-t-il une autre loi possible dans la classe?"
Chacun des 26 épisodes de la série "L'éducation en questions" se propose d'aborder, à travers l'oeuvre et l'expérience d'un pédagogue qui a marqué l'histoire de l'éducation, une question particulière, illustrée par des situations contemporaines. "L'émission ne pose pas seulement des questions frontales auxquelles les universitaires répondent souvent par des propos touffus, que les médias évitent, qui évoquent la complexité des rapports entre adultes et enfants, et qui semblent à tort propres à l'époque actuelle. Le documentaire répond en évitant le piège des recettes. Il rappelle plutôt la mémoire enfouie de ceux qui ont déjà pensé sur ce thème" (Le Figaro). "Cela aurait pu être austère, ennuyeux, jargonneux. C'est au contraire captivant" (Le Monde). Volume 2, épisodes 5 à 8 (13 minutes chacun): Jean-Marc Gaspard Itard (1774-1838): "Tous les enfants peuvent-ils être éduqués?" Johann Heinrich Pestalozzi (1746-1827): "Que faire avec des enfants qui ne veulent pas de vous?" Joseph Jacotot (1770-1840): "Peut-on enseigner sans savoir?" Léon Tolstoï (1828-1910): "Doit-on croire les enseignants sur parole?"