Le soin à temps partiel est-il forcément insuffisant dans les pathologies lourdes ? La scansion temporelle n'a-t-elle pas le mérite de nous obliger à trouver des moyens pour faire exister l'idée du temps et de l'absence chez les enfants autistes et psychotiques ? Les pictogrammes, le TEACCH, les théories psychanalytiques peuvent-ils se nourrir mutuellement dans le soin ?