Ce film évoque la prise en charge au sein d'un Service d'Education et de Soins Spécialisés à Domicile des enfants handicapés moteur, avec ou sans troubles associés. Il nous montre les différents éducateurs spécialisés et rééducateurs travaillant dans les multiples lieux de vie de l'enfant. Des parents et des professionnels expliquent et analysent leur vécu, leur travail avec les avantages et les contraintes que représente ce mode d'intervention. Ce film s'adresse à tous, enfants, parents, professionnels, organismes de tutelle, Caisse d'assurance maladie... Un bon support pour progresser dans le débat des différents modes de prises en charge d'un enfant handicapé et sa famille.
Le film explique les efforts de transformations d'un asile psychiatrique dans l'île de Leros et présente les différentes étapes de ces transformations dont l'émergence d'une maison communautaire qui héberge 11 personnes à Athènes.
Dans la continuité des travaux de René Spitz et John Boxlby, Myriam David a mis en évidence chez l'enfant, la pathologie liée aux carences affectives qui affectent le développement global de l'enfant.. Celles-ci sont encore mal connues, mal acceptées de la nosographie officielle et pourtant tous les professionnels de l'enfance en mesure la morbidité en termes de santé publique. Myriam David, dans ces deux documents nous permet de mieux comprendre cette pathologie qui, au départ, s'appliquait au champ institutionnel (Les carences institutionnelles) et s'élargit actuellement au champ intra-familial (Les carences intra-familiales)
Dans un établissement pour handicapés mentaux, l'externat médico-professionnel de Bourg la Reine, cohabitent des jeunes trisomiques, psychotiques en situation d'échec scolaire. Tous désireux de se revaloriser autant aux yeux du personnel éducatif que d'eux-mêmes. Ils décident d'écrire un clip ("Le Rap du colonel Black"), de concevoir son décor, et d'interpréter cette création. Aux nombreux portraits des élèves, viennent s'ajouter, dans ce document, les points de vue de l'équipe éducative et psychologique sur le suivi quotidien et sur les perspectives de vie professionnelle de ces jeunes.
A travers le déroulement d'une journée ordinaire dans une Maison d'Enfants, alors que se succèdent réveil, toilette, petit déjeuner, départ à l'école, puis devoir à faire, jeux, repas, brossage de dents, histoires racontées avant de se coucher, chaque enfant racontera son histoire avec son particularisme, son unicité d'être humain, sa légèreté d'enfant, avec ses lapsus en forme de fautes de français. Tout en témoignant de la vitalité fascinante de l'enfance, ce film voudrait rendre hommage au travail formidable des éducateurs, même si les enfants ne rêvent que de rentrer chez eux : ils voudraient être comme au foyer, encadrés, protégés, mais à la maison ...