La découverte d'un non-dit dans une famille suscite, un jour ou l'autre, le désir de rompre le secret. Rencontre avec cinq personnes qui ont préféré la parole au silence et qui ont compris que leur histoire était partageable par d'autres... Ils racontent leur long parcours initiatique: leurs soupçons, leur colère, la découverte de la vérité et leur difficulté, aujourd'hui, à vivre avec. Qu'ils aient réussi ou non à faire le deuil, tous vivent encore les conséquences de ces non-dits dans leur vie d'adultes et de parents.
Conçu pour répondre aux préoccupations de l'entourage de la personne âgée, ce document va à la rencontre des aînés et de leur famille en Belgique, en France, en Angleterre et au Grand-Duché du Luxembourg afin de susciter la réflexion face aux choix parfois difficiles à faire quand on prend de l'âge: vieillir chez soi ou ailleurs? Des hommes et des femmes de tout âge témoignent de leur expérience et des professionnels font part de leurs conseils. Un reportage très complet qui propose une image positive du mot "vieillir" et qui montre des solutions parfois surprenantes. Note: une brochure réalisée par la Fondation Roi Baudouin complète ce programme et approfondit les points suivants: vivre à domicile en étant valide ou moins valide, la perte d'autonomie progressive, les services et aménagements à domicile, les conditions de vie et d'entrée en maison de repos, les alternatives...
La violence conjugale a des répercussions importantes sur les enfants qui en sont témoins : problèmes de santé mentale, troubles du développement, isolement, tendances à reproduire les comportements violents... Les intervenants en milieu scolaire et de garderie sont souvent confrontés à ces effets et s'interrogent sur les actions à poser et sur le rôle de prévention qu'ils doivent jouer. Comment dépister une situation de violence conjugale ? Faut-il intervenir ? Si oui , comment et jusqu'à quel point ? Ce sont les principales questions abordées dans ce document vidéo. Des témoignages de mères ayant vécu de la violence et des commentaires d'intervenants auprès d'enfants témoins ou victimes proposent quelques pistes d'intervention et de prévention. * Ce document fait partie de la série " VIOLENCE CONJUGALE ; PREVENTION, DEPISTAGE ET INTERVENTION ", avec "De l'amour à la violence : trois femmes parlent " et " Grossesse en mauvais termes ".
À travers la rencontre de parents et d'enfants, depuis la naissance jusqu'au début de l'adolescence, une réflexion sur le développement de l'identité sexuelle et de la sexualité infantile qui met l'accent sur le vécu de l'enfant. Bien avant que l'enfant ait réellement conscience d'appartenir à un sexe, ses partenaires adultes lui reconnaissent une identité sexuée. En fonction de cette reconnaissance et de l'écho que cela produit en eux, ils vont adopter certaines attitudes à son égard et en réprimer d'autres. Toutes ces attitudes, réactions et comportements de l'entourage ont une importance fondamentale dans la structuration de l'identité sexuelle du jeune enfant. L'interview d'une adulte met en évidence les manquements que certains enfants sont amenés à vivre ainsi que les répercussions dans leur vie affective.
Initiée en l'an 2000, l'Université de tous les savoirs (U.T.L.S.) organise à Paris de nombreuses conférences présentant à un large public la recherche et le savoir actuels en recevant de grands intellectuels et scientifiques francophones du monde entier.
Conférence donnée le 13 janvier 2005 par Marcel Rufo.
"Notre époque est sans doute une extraordinaire fabrique d'adolescence. Elle commence de plus en plus tôt à manifester des signes précurseurs de leur entrée dans cette période de la vie: gel sur les cheveux dès le CM1, sortie le samedi soir dès le CM2, petite amie en 6ème! Ils n'en finissent plus d'être adolescents puisqu'à leur trentième année, ils envisagent un autre DEA ou une ré-orientation professionnelle ou un voyage autour du monde. Il est possible que nous ayons les adolescents que l'on mérite et que le jeunisme actuel des anciennes générations sont en compétition avec le goût de changement, de prise de place et de pouvoir que représente l'adolescence. Un autre aspect original des familles consiste dans les extraordinaires progrès des familles quant aux enfants. On veut les comprendre plutôt que les éduquer mais on croit aussi qu'on est parent un jour, parent toujours. Du bébé à la maturité, des changements sont nécessaires dans les attitudes et dans la nécessité de savoir se séparer pour mieux s'autonomiser."
AU FIL DES RELATIONS Documentaire (45 min)
Réalisateur :
Jacques BORZYKOWSKI Pays :
Belgique
- 1994
Premier prix du Jury professionnel, dans la catégorie "Pédagogie spécialisée" au 11ème festival audiovisuel de Nancy 1995
A travers le portrait de six familles, la découverte du passage de la dépendance totale de l'enfance à la prise d'autonomie de l'adolescence, angoissant et périlleux pour les uns et plus simple pour d'autres. L'enfant développe au fil des relations le potentiel de croissance qu'il possède dès la naissance et qui le pousse à construire sa personnalité. Outil de prévention, ce documentaire vise à sensibiliser à la construction de relations épanouissantes et harmonieuses entre tous les membres de la famille.
Angie se souvient de sa mère qui a disparu un jour sans laisser de trace. Aujourd'hui Angie mène une vie sans surprise dans la middle class italo-américaine entre son amie Tina, son amant Vinny, son père et la seconde femme de celui-ci. Quand Angie découvre qu'elle est enceinte, à la grande joie de tous ceux qui l'entourent, elle est la seule à se rebeller. Elle ne veut pas se marier, elle rêve d'une autre vie. Elle ébauche une relation avec un avocat qui est prêt à accueillir ce bébé dont il n'est pas le père. Mais à la naissance, il s'éclipse et Angie découvre seule qu'elle est maman d'un enfant malformé. Désabusée, découragée, elle laisse le bébé à son père et part à la recherche de sa mère... Un beau personnage, dur et fragile, libre et pourtant conditionné par son milieu. Un peu trop mélo peut-être?
Une collection d'entretiens avec de grands praticiens (pédiatre, psychologue, pédopsychiatre, anesthésiste, juge pour enfants, professeur de philosophie,...) qui exposent leurs réflexions et abordent les difficultés, abus et carences dont sont victimes les enfants et les adolescents au sein de la famille ou de l'école.
Moyen d'information pour un travail individuel ou support d'animation collective, les entretiens sont conçus comme outil de réflexion destiné aux professionnels de la santé, de l'enfance et de la famille. Ils sont également conseillés aux parents qui s'interrogent sur les problématiques développées. L'objectif est d'engager la réflexion sur les moyens à mettre en oeuvre pour favoriser le développement harmonieux de l'enfant et de l'adolescent.
Un entretien avec David Le breton, professeur de sociologie à l'Université de Strasbourg et membre de l'Institut de France. Animé par Françoise Puig, éducatrice spécialisée, directrice de l'établissement pour adolescents et membre d'Anthéa.
"Les conduites à risque sont pour les jeunes générations en détresse, une forme de résistance. Ce sont des tentatives de vivre et non des tentatives de suicide. Ce sont des appels à vivre, des actes de passage, rarement des pathologies, ce sont des anthropo-logiques. Ce sont des jeunes qui ont besoin de passeurs, de compagnons de route, d'éducateurs qui leur donne envie de grandir."
Autour de 18 mois, l'enfant entre dans un phase d'opposition, la période du "non". Ce "non" est perçu comme provocateur ou agressif. Dans cette période, la tâche des parents est d'offrir un cadre de limites structurantes et un soutien affectif à l'enfant. Par ce biais, il pourra intégrer des repères internes indicateurs de règles de vie en commun et aussi identifier ses besoins. Les parents peuvent aider l'enfant à reconnaître les différentes sensations qu'il éprouve dans la conquête de son indépendance et de sa créativité. Sur base de témoignages de parents, la découverte de différentes attitudes face à ces comportements.
Du Quai 9 à Genève, un des rares locaux d'injection en Europe, aux coteaux du Valais, ce film nous montre des univers très dissemblables dans lesquels s'inscrivent différentes trajectoires de vie.
Sans complaisance mais sans jugement, avec un récit qui alterne entre la réalité brutale de l'addiction et la poésie d'images symboliques et évocatrices, ces témoignages rendent compte de l'intimité de six personnes entre 25 et 85 ans, qui nous exposent leurs vécus, leurs addictions, leurs années dans la rue, leurs combats contre les préjugés et la maladie psychiatrique, les affres de la dépendance et la force qu'il a fallu - pour certains - afin d'arriver à s'en sortir.
Jean-Benoît a dix-sept ans et débute un apprentissage de mécanicien diéséliste. Entre le garage où il travaille, la relation amoureuse avec Hélèna, les rapports conflictuels avec sa mère, le film montre l'incapacité de Jean-Benoît à apprendre et sa difficulté à sortir d'une enfance marquée par la disparition de son père... Pendant deux ans, le réalisateur a suivi ce gamin en difficultés de la banlieue rouennaise, faisant de son apprentissage la métaphore de sa reconstruction. Une aventure qui n'est pas sans vicissitudes. Jean-Benoît esquive le travail, la caméra, refuse d'aborder le passé. Le réalisateur tend un miroir à l'adolescent qui ne lui renvoie pas l'image rassurante dont il rêve. Le film parle du passage douloureux de l'enfance à l'âge adulte, de la difficulté d'apprendre, du besoin de trouver sa place au sein d'une communauté. Mais au coeur du film, il y a surtout une relation intime, pudique, complexe entre le cinéaste et le jeune, une rencontre de cinéma qui peut changer la vie.
Note: Le film est accompagné d'un livret qui reprend - entre autres - un entretien avec le réalisateur Didier Nion.
Raed Andoni, auteur réalisateur, a mal à la tête, au sens propre comme au figuré. Cela l'empêche de travailler. Armé d'humour et d'une certaine ironie, il interroge alors sa place dans la société palestinienne. Au risque de déconcerter sa propre famille et ses vieux amis, il décide de se faire soigner et de filmer sa psychothérapie...
Complément DVD: "Comment se fit Fix me", l'histoire du film racontée par le réalisateur, le psychanalyste Fathy Flefel et la productrice déléguée Palmyre Badinier (24').
Un film assez déconcertant dans sa forme et sur le fond... tout comme le protagoniste - le réalisateur - du film...
"Un work in progress en quête de légèreté, d'élégance, d'apesanteur,qui enrage de tourner en rond. [...] Raed Andoni fraternise avec les meilleurs cinéastes de la région, qu'il s'agisse du Palestinien Elia Suleiman ou de l'Israélien Avi Mograbi. Comme eux, à travers la mise en scène de soi-même et la prise de distance avec les injonctions collectives, il affirme l'inaliénable liberté de l'individu contre l'occupation de la terre et de l'esprit." Le Monde
"Pas totalement un documentaire mais pas vraiment une fiction, Fix me se rapproche du journal intime autant qu'il s'en éloigne pour explorer, mine de rien, la psyché collective des Palestiniens. Avec gravité autant qu'avec drôlerie. [...] son ironie, qui n'épargne personne - à commencer par lui-même -, fait davantage penser aux autofictions caustiques de l'Israélien Avi Mograbi ("Comment j'ai appris à surmonter ma peur et à aimer Ariel Sharon"). Le contexte est palestinien, mais le propos est universel: comment s'intégrer dans une société tout en préservant son individualité ? Dans un territoire où règne le culte de la force, Andoni revendique le droit d'être faible, de douter. Et la liberté pour un réalisateur de tourner sans que tous les problèmes du monde ne lui "prennent la tête"..." Télérama
Vincent, consultant en entreprise, a été licencié. Incapable de l'annoncer à sa famille, il leur fait croire qu'il continue à travailler et s'invente un nouvel emploi, à Genève, dans une institution internationale. Le piège se referme sur lui: pour maintenir l'illusion et le niveau de vie, il s'écartèle de mensonge en mensonge. Deuxième long métrage de Laurent Cantet, après le remarqué "Ressources humaines" (1999), cette histoire s'inspire de celle du docteur Roman qui, pendant près de quinze ans, a menti à sa famille et à son entourage puis a tué sa femme, ses enfants et ses parents avant de rater son suicide. Le réalisateur et son scénariste refusent le sensationnel et se focalisent sur Vincent, sur son drame, ses réactions et sa double vie. La construction du film est impeccable, la photo soignée et l'interprétation proche de la perfection.
Une collection d'entretiens avec de grands praticiens (pédiatre, psychologue, pédopsychiatre, anesthésiste, juge pour enfants, professeur de philosophie,...) qui exposent leurs réflexions et abordent les difficultés, abus et carences dont sont victimes les enfants et les adolescents au sein de la famille ou de l'école.
Moyen d'information pour un travail individuel ou support d'animation collective, les entretiens sont conçus comme outil de réflexion destiné aux professionnels de la santé, de l'enfance et de la famille. Ils sont également conseillés aux parents qui s'interrogent sur les problématiques développées. L'objectif est d'engager la réflexion sur les moyens à mettre en oeuvre pour favoriser le développement harmonieux de l'enfant et de l'adolescent. Un entretien avec Sophie Marinopoulos, psychologue clinicienne et Maïté Iribarnégaray, psychologue clinicienne.
Les questions de l'adolescent adopté éclairent celles que se pose tout enfant dans sa construction filiative. Il entraîne avec lui ses parents qu'il sollicite sur des interrogations personnelles. Les agirs des adolescents, nous demandent de toujours rester éveillés sur le sens de ce qu'ils vivent. Dans l'adoption nous retrouvons les comportements de l'adolescent, en recherche de lui- même, de ses parents, et de sa place dans une (pré)histoire familiale. L'absence de lien biologique pousse tous les acteurs familiaux à faire reposer leur histoire sur un lien symbolique, co-construit, particulièrement réinterrogé à l'adolescence.
Hubert Minel n'aime pas sa mère. Du haut de ses 17 ans, il la jauge avec mépris, ne voit que ses pulls ringards, sa décoration kitsch et les miettes de pain qui se logent à la commissure de ses lèvres quand elle mange bruyamment. Au-delà de ces irritantes surfaces, il y a aussi la manipulation et la culpabilisation, mécanismes chers à sa génitrice. Confus par cette relation amour-haine qui l'obsède de plus en plus, Hubert vague dans les arcanes d'une adolescence à la fois marginale et typique - découvertes artistiques, expériences illicites, ouverture à l'amitié, sexe et ostracisme - rongé par la hargne qu'il éprouve à l'égard d'une femme qu'il aimait pourtant jadis.
Le collection "Parole d'ados" propose des sujets qui concernent de près les adolescents. Son originalité est leur implication au niveau de la création des films, tant dans le contenu que dans la forme. Ainsi, ces films leur parlent vraiment.
La collection ouvre un espace pédagogique positif, susceptible de rencontrer l'intérêt du monde des enseignants et des éducateurs tout autant que celui des étudiants, du secondaire en particulier.
Pour lutter contre le tabou qui entoure encore trop souvent la mort volontaire des jeunes, six ados -de 14 à 18 ans- témoignent. Plusieurs d'entre eux se sont sacrifiés, lançant, par ce geste mutilateur, un premier appel à l'aide. Puis ils ont fait une TS (tentative de suicide). Ils expriment leur mal-être et parlent du fil ténu qui sépare la vie de la mort. Ils déplorent la rupture de communication avec leur entourage, la solitude, l'impression de ne servir à rien, d'être mal aimés. Ils disent combien ils voulaient en finir avec la souffrance plutôt qu'avec leur existence. Ils évoquent aussi l'importance de la parole et leur attachement à la vie, et dénoncent enfin le tabou qui entoure le suicide, et dont on s'occupe si peu en milieu scolaire.
Pour appréhender ce sujet délicat, qu'elle affronte de face, la réalisatrice a choisi de filmer la vie, la renaissance, les rires. Pour évoquer ce voyage aux frontières de la mort, elle a filmé les témoignages des jeunes dans la clarté des tons pastels afin de créer des images mentales très évocatrices et parler de la mort en filmant une vie.
Le collection "Parole d'ados" propose des sujets qui concernent de près les adolescents. Son originalité est leur implication au niveau de la création des films, tant dans le contenu que dans la forme. Ainsi, ces films leur parlent vraiment.
La collection ouvre un espace pédagogique positif, susceptible de rencontrer l'intérêt du monde des enseignants et des éducateurs tout autant que celui des étudiants, du secondaire en particulier.
Il existe des millions de blogs à travers le monde. Simples et rapides à créer, on peut en quelques clics exposer sa vie. On crée un blog dans les années 2000 comme on ouvrait auparavant un journal intime. Une autre façon de s'ouvrir au monde... Les ados en raffolent, les adultes aussi, mais certains s'en méfient.
Mathilde, 15 ans, a créé son propre blog. Très vite, elle a été déçue par les commentaires faits sur celui-ci. Pire, elle s'est rendu compte, malgré l'utilisation d'un pseudonyme, qu'il serait facile pour quelqu'un qui la connaît de la reconnaître. Elles vont aller en Belgique, en Angleterre, à Paris, en ville ou à la campagne, pour rencontrer et comprendre ceux que l'on appelle les blogueurs. Auteurs de blogs amusants, noirs, sérieux... ils se livrent dans l'anonymat ou publiquement à des internautes pas toujours tendres.
Pour faire le point sur elle-même, une femme quitte son mari et son fils. Ted se retrouve seul face à Billy, leur petit garçon de sept ans. Les débuts sont difficiles. À force de douceur, complicité et tendresse s'installent entre le père et l'enfant. Quand la mère revient pour réclamer son fils, le procès est inévitable. Destiné à sensibiliser le public au problème des enfants du divorce, le film de Robert Benton joue la carte de l'émotion, magistralement servi en cela par trois acteurs qui donnent ici toute la mesure de leur talent. "Kramer contre Kramer" fut, en 1980, le film le plus récompensé aux Oscars: meilleur film, meilleur scénario d'adaptation et meilleur acteur pour Dustin Hoffman.
Depuis que l'autisme a été décrit pour la première fois par Kanner en 1943, les critères définissant les symptômes ont considérablement évolué. Une étude de l'Inserm estime le taux d'autistes dans la population à 27 pour 10.000. La piste génétique, sans tout expliquer, se confirme de jour en jour. Par ailleurs, les outils modernes d'imagerie cérébrale commencent à donner des éléments de réponse sur certains dysfonctionnements dans la perception des émotions. D'autres chercheurs proposent des techniques innovantes pour activer certains réseaux neuronaux à l'origine de la communication. Car les autistes peuvent faire des progrès à tout âge. Une note d'espoir.
Claire est enceinte. Elle attend des jumeaux. L'annonce de cette grossesse gémellaire la plonge étrangement dans une angoisse profonde. Peu à peu elle perd pied. Pierre, son mari, est totalement impuissant face à la névrose de sa femme. Comme ultime recours, ils décident de pratiquer une réduction de grossesse, c'est-à-dire de supprimer un des deux embryons.