Chacun des 26 épisodes de la série "L'éducation en questions" se propose d'aborder, à travers l'oeuvre et l'expérience d'un pédagogue qui a marqué l'histoire de l'éducation, une question particulière, illustrée par des situations contemporaines. "L'émission ne pose pas seulement des questions frontales auxquelles les universitaires répondent souvent par des propos touffus, que les médias évitent, qui évoquent la complexité des rapports entre adultes et enfants, et qui semblent à tort propres à l'époque actuelle. Le documentaire répond en évitant le piège des recettes. Il rappelle plutôt la mémoire enfouie de ceux qui ont déjà pensé sur ce thème" (Le Figaro). "Cela aurait pu être austère, ennuyeux, jargonneux. C'est au contraire captivant" (Le Monde). Volume 5, épisodes 18 à 21 (de treize minutes chacun): Comenius (1592-1670): "A quoi servent les manuels scolaires?" Pauline Kergomard (1838-1952): "L'école maternelle française: une réussite exceptionnelle?" Georg Kerchensteiner (1854-1932): "Le travail manuel est-il nécessaire à la formation?" Alain (1868-1951): "L'école doit-elle délivrer l'enfant de ses parents?"
Chacun des 26 épisodes de la série "L'éducation en questions" se propose d'aborder, à travers l'oeuvre et l'expérience d'un pédagogue qui a marqué l'histoire de l'éducation, une question particulière, illustrée par des situations contemporaines. "L'émission ne pose pas seulement des questions frontales auxquelles les universitaires répondent souvent par des propos touffus, que les médias évitent, qui évoquent la complexité des rapports entre adultes et enfants, et qui semblent à tort propres à l'époque actuelle. Le documentaire répond en évitant le piège des recettes. Il rappelle plutôt la mémoire enfouie de ceux qui ont déjà pensé sur ce thème" (Le Figaro). "Cela aurait pu être austère, ennuyeux, jargonneux. C'est au contraire captivant" (Le Monde). Volume 6, épisodes 22 à 26 (de treize minutes chacun): Albert Thierry (1881-1915): "Faut-il encore enseigner les grandes oeuvres?" Makarenko (1888-1939): "Peut-on éduquer sans punir?" Rabindranath Tagore (1861-1941): "Peut-on apprendre par la contemplation?" Paul Robin (1837-1912): "La mixité: progrès ou régression?" Ivan Illitch (1926): "Faut-il supprimer l'école?"
Nicole Dopchie a été la fondatrice en 1974 du Centre de Guidance de l'Hôpital Universitaire St Pierre à Bruxelles, chef du service de psychiatrie infantile à l'Hôpital Universitaire St Pierre, professeur de pédopsychiatrie à l'ULB, Facultés de Médecine et de Psychologie.
Dans ce premier document de la collection "Mémoires de psys", elle retrace l'aventure avec Françoise Wolff, de la naissance et de l'évolution de la pédopsychiatrie en Belgique, dont elle fut l'une des principales pionnières. Depuis son désir, dans les années 50, de faire de la "psychiatrie pour les enfants", à la création, 20 ans plus tard, de la première chaire de pédopsychiatrie à l'université dont elle sera la première titulaire, Nicole Dopchie évoque son parcours, ce métier qu'elle a vécu "dans sa chair", ses combats, ses fiertés et ses doutes. C'est également le portrait d'une personnalité hors du commun qui a marqué l'histoire de la pédopsychiatrie belge en ouvrant de nouvelles voies, décloisonnant des pratiques, développant des équipes pluridisciplinaires, et surtout... en semant des pistes...
La Boîte Decroly est un test qui permet des observations de comportement et des mesures quantitatives concernant le développement psychologique de l'enfant. C'est une boîte dont le système d'ouverture combine plusieurs opérations. La boîte et son mode d'ouverture d'abord sont présentés. Plusieurs enfants de 6 à 16 ans sont successivement filmés en situation de test , en train de tenter l'ouverture de la boîte. Observation de différents types d'échec. Les réussites par essais et erreurs. Les réussites par " insight ". Le système de notation des observations. En conclusion, on évoque l'intérêt et les usages de ce test où n'intervient pas la parole.
Ils sont adultes aujourd'hui mais n'ont pas oublié l'expérience de la "classe divisée" vécue quand ils avaient 10 ans. C'était en 1968, Martin Luther King venait d'être assassiné. Comment expliquer aux élèves les raisons de ce crime insensé, comment leur faire comprendre ce que sont le racisme, la discrimination? Dans l'Etat de l'Iowa, aux Etats-Unis, une maîtresse décide de donner une leçon de choses inhabituelle. Arbitrairement, elle décrète que les enfants aux yeux bleus sont meilleurs que les autres et bénéficieront d'une série d'avantages. Les enfants aux yeux bruns se voient imposer une série d'interdits. Très vite, les "yeux bleux" s'installent dans leur situation privilégiée, cessent toute relation avec les "yeux bruns", vont jusqu'à instaurer des brimades. Le lendemain d'une bagarre entre "yeux bleus" et "yeux bruns", l'institutrice inverse les rôles: les "yeux bruns" deviennent les meilleurs. Immédiatement, et ce n'est pas le moindre des aspects troublants de l'expérience, les résultats scolaires des "yeux bruns" s'améliorent ...
La dyslexie n'est ni une maladie, ni une tare, mais un trouble spécifique de l'apprentissage de la lecture. Ce trouble est souvent associé à d'autres perturbations au niveau psychomoteur et dans l'apprentissage de l'écriture et de l'orthographe. Pour être efficace, la prise en charge de cette difficulté doit être la plus précoce possible. Des spécialistes, logopède, psychologue et neuropédiatre, expliquent en quoi consiste la rééducation et insistent sur l'importance de créer autour de l'enfant un contexte porteur qui permette de lui redonner confiance en ses capacités. Différents reportages illustrent le sujet et présentent des techniques de dépistage et de rééducation.
Dès la petite enfance, on peut observer des différences d'intelligence entre les individus. Des différences qui aboutissent à classer les enfants, à les hiérarchiser. Et, surtout, qui leur donnent plus ou moins de chances dans leur réussite sociale et personnelle. Les psychologues ont essayé d'étudier la nature de l'intelligence et de la mesurer. Pour cela, ils ont élaboré le quotient intellectuel, le fameux Q.I. Quel est son usage ? Quelle est sa validité ? Au cours de l'émission, nous voyons comment ces tests, censés mesurer l'intelligence, mesurent en réalité l'adaptation de l'enfant ou de l'individu au système scolaire et à la société. Une discussion entre les différents invités, comme J.Voeneche, Belge qui travaille à l'Université de Genève et M.Schiff, un psychologue français du C.N.R.S., clôture cette émission.
Depuis plus de trente ans, Boris Lehman a réalisé, produit et diffusé, de manière artisanale et souvent combative, plus de 300 films (parfois courts, parfois très longs). Alors qu'aujourd'hui le cinéaste ne désire plus voir ses films projetés qu'en sa présence, la Médiathèque permet cependant de découvrir en vidéo une quinzaine de jalons importants de son oeuvre. Commandé en 1970 par le Ministère de l'éducation nationale, ce court-métrage est un documentaire sur les centres psycho-médico-sociaux (PMS). Dans le cadre précis d'un centre PMS bruxellois, le document aborde les différents tests collectifs et individuels, les interviews des jeunes adolescents, la rencontre avec leurs parents et professeurs... Si la bande-son, à quelques bruitages près, semble assez bien respecter les usages du film de commande ministériel (voix off assez didactique), l'image hisse le film au-delà des standards du film institutionnel. La superbe photographie noir et blanc, le cadrage attentif de multiples détails signifiants et le montage inventif confèrent parfois au film un brin d'ironie ou de tendresse tatiesques.
Lorsque l'enfant quitte sa maman pour l'école et devient un élève, il entreprend un formidable travail psychique. Il quitte l'institution familiale pour un nouvel univers dont il devra comprendre les codes, les valeurs et les styles. Deux institutions qui sont parfois en contradiction. Il apprend aussi à vivre avec les autres, tout autant dans sa classe que dans la cour de récréation. Il aura à développer sa pensée, sa capacité de symbolisation et son langage. La parole lui permettra notamment d'acquérir du pouvoir sur son environnement et de gérer le problème de l'agressivité. L'élève aura enfin, à faire des apprentissages qui nécessitent également, on l'aura deviné, un effort psychique considérable. Jacques Constant, pédopsychiatre et chef de service à Chartres est fondateur de l'Association des Psychiatres de secteur Infanto-juvénile (API). Co-auteur de la "Consultation infanto-juvénile" (Doin), et le "Handicap mental chez l'enfant" (Edition ESF, 1997), il considère que sa pratique lui confère un authentique statut d'ethonologue de l'enfance. Il s'intéresse particulièrement aux rôles sociaux des enfants notamment à celui qui consiste à être un élève. Pour lui, une bonne partie des enfants vus en psychiatrie ont simplement de la difficulté à accomplir le travail psychique nécessaire pour remplir leurs rôles d'enfant.
LE PAYS DES SOURDS Documentaire (1h35)
Réalisateur :
Nicolas PHILIBERT Pays :
France
- 1992
Grand prix du festival de Belfort 1992; Grand prix du festival dei Popoli, Florence 1992;Peabody Award, Etats-Unis 1998; et de nombreux prix…
Une balade à la découverte de ce pays lointain où le regard et le toucher ont tant d'importance. Quiconque s'est aventuré au pays des sourds aura été frappé par l'étrangeté de cette chorégraphie de signes qui leur permet de s'exprimer. Elaborés depuis la nuit des temps, ces signes constituent une véritable langue, où chaque mot, chaque unité de sens, se traduit par une image que l'on trace dans l'espace. Ces signes, aussi précis et nuancés que la parole, peuvent, au moins autant qu'elle, se prêter aux déclarations amoureuses comme aux descriptions techniques les plus détaillées. Ce film raconte l'histoire de milliers de gens qui vivent dans le silence et fait voir le monde à travers leurs yeux. Bonus DVD: "Eclats de signes" (entretien avec Emmanuelle Laborit) - Bandes-annonces - Chapitrage.
Pratiquer la philosophie avec des enfants de 5 à 12 ans... Le film reprend des séquences de travail avec des enfants, des interviews de philosophes praticiens. Le plaisir et l'intérêt des enfants sont évidents. Cette expérience est menée dans une bibliothèque communale et dans une école.
"You can create racism. And, as with anything, if you can create it, you can destroy it" (Jane Elliott). En 1968 à Riceville, petite ville blanche de mille habitants, l'institutrice Jane Elliott tente de faire comprendre le sens de la mort de Martin Luther King à ses élèves en créant un jeu de rôles où les enfants aux yeux bleus auraient à subir une discrimination systématique de la part des enfants aux yeux bruns. Malgré les menaces et les intimidations tant physiques que psychiques, Jane Elliott continua jusqu'en 1984 à animer de semblables animations à destination d'enfants et d'adolescents. Le présent document montre l'adaptation du jeu de rôle à un public d'adultes: une quarantaine d'enseignants, policiers, employés ou travailleurs sociaux de Kansas City. Au bout de deux heures et demi de jugements arbitraires (explications pseudo-scientifiques de leur infériorité, tests biaisés de leur quotient intellectuel... ), même les plus assurés et les plus solides parmi les participants se mettent à chanceler, à sombrer dans le doute, à ne plus pouvoir répondre aux requêtes les plus simples.
Ils ont entre onze et quinze ans et sont bons élèves. On pourrait s'attendre à ce que tout aille pour le mieux pour eux. Sauf que la dizaine de jeunes adolescents suivis par le réalisateur vit dans une cité dite "difficile", en banlieue parisienne, où il est plutôt mal vu de prendre goût aux études et où l'impossibilité d'exprimer le moindre compliment sans arrière-pensée mine toutes les relations sociales. Enfants d'immigrés peu scolarisés, fils et filles d'éboueurs, de manoeuvres ou de femmes de ménage, ils ont décidé de viser un futur professionnel un peu plus clément que celui de leurs parents. Véritables petits "combattants du savoir" c'est en stratèges solitaires qu'ils ont à se construire et à affronter la frilosité des professeurs et les pressions verbales et physiques des autres jeunes ("Si tu es bon élève mais que tu n'as pas de bons bras, ça se passe mal pour toi"). Le présent documentaire tire parti de la simplicité de son dispositif: le simple agencement thématique d'extraits des interviews frontales de la dizaine d'adolescents. La famille, le corps professoral et les autres jeunes ne sont présents qu'en creux, hors du cadre de la caméra, laissant pleinement s'exprimer, par les mots comme par les regards, les sentiments contrastés de ces jeunes confrontés en permanence à un rapport de force qu'ils n'ont pas voulu. Qu'ils soient pétillants comme Hichem ou les yeux pleins de détresse comme Sébastien, ces jeunes sont étonnamment mûrs pour leur âge, déjà pleinement conscients du caractère impitoyable de la société des adultes.
Une collection d'entretiens avec de grands praticiens (pédiatre, psychologue, pédopsychiatre, anesthésiste, juge pour enfants, professeur de philosophie,...) qui exposent leurs réflexions et abordent les difficultés, abus et carences dont sont victimes les enfants et les adolescents au sein de la famille ou de l'école. Moyen d'information pour un travail individuel ou support d'animation collective, les entretiens sont conçus comme outil de réflexion destiné aux professionnels de la santé, de l'enfance et de la famille. Ils sont également conseillés aux parents qui s'interrogent sur les problématiques développées. L'objectif est d'engager la réflexion sur les moyens à mettre en oeuvre pour favoriser le développement harmonieux de l'enfant et de l'adolescent. Un entretien avec Serge Boimare, instituteur spécialisé, psychopédagogue, directeur pédagogique du Centre Claude Bernard à Paris, animé par Anne-Marie Ourgias-Pérez, psychologue, orthophoniste. "Figurer les craintes et les sentiments qui parasitent la situation d'apprentissage est une étape souvent indispensable avec les élèves en échec scolaire. Les médiations culturelles qui permettent d'aborder la question identitaire en donnant le fil pour s'en éloigner, qu'elles soient littéraires, scientifiques ou artistiques, sont un excellent moyen pour faire ce type de travail tout en maintenant le cadre pédagogique."
Karin Rondia s'entretient avec Léon Cassiers, Professeur émérite de psychiatrie à l'Université Catholique de Louvain, ancien doyen de la Faculté de médecine de l'UCL, ancien président du Comité Consultatif d'éthique, co-fondateur et membre de plusieurs associations et commissions dont l'Unité 21 à l'Hôpital St Luc de Bruxelles.
Lors de cet entretien, Léon Cassiers nous livre, avec son "bon sens réaliste", l'évolution de sa pensée et de ses pratiques dans l'univers de la psychiatrie, tout au long de son parcours jalonné de multiples interrogations sur le sens de la vie et de la spécificité humaines. Depuis l'étude du cortex du singe et de la neuropsychiatrie, en passant par la psychanalyse, la criminologie et la pratique des urgences, Léon Cassiers a toujours cherché à comprendre la nature de l'homme. Dans la grande tradition médico-philosophique, le professeur Cassiers place l'homme au coeur de sa recherche, s'interroge sur la spécificité de ses pathologies et questionne la psychiatrie sur les réponses qu'elle peut y apporter.
Ce troisième entretien de la collection "Mémoires de psys" avec le Dr Philippe Hennaux, est consacré à la contribution de Siegi Hirsch à l'histoire de la psychiatrie, et permet de mettre en lumière les valeurs essentielles qui ont traversé son œuvre : la vie, la créativité, le souci de l'autre et le respect de celui qui veut savoir.
Siegi Hirsch a inspiré puis formé plusieurs générations de psychiatres aux thérapies de groupe et au travail systémique. Son influence déterminante lors de la création de nombre de structures extra-hospitalières à Bruxelles depuis les années 60 s'est prolongée par une réflexion sur les institutions, portant sur les rapports entre leurs fonctionnements et les pratiques thérapeutiques.
Un titre, une phrase à double sens pour un vidéogramme songeur! La prévention des toxicomanies n'est pas seulement une histoire d'information et de communication, mais aussi une histoire d'amour. Jean, Michelle et Jean-Marc ont bien connu les drogues. Ils s'y sont adonnés corps et âme. Maintenant, ils en sont sortis. Ils se demandent pourquoi, un jour, ils n'ont pas pu y échapper. Et puis, il y a les jeunes dans leur milieu scolaire: c'est souvent vers 12 ans que tout se joue. Ils s'expriment pendant des animations organisées en classe. Depuis 1980, le centre de Santé mentale d'Eupen coordonne une équipe d'enseignants. Le professeur est un éducateur qui ne peut se contenter de dispenser son savoir mais doit donner à ses élèves les moyens d'assumer leur vie sans devenir dépendants des drogues. L'école devient, avec la famille, le lieu privilégié de la prévention.
L'importance de la maîtrise corporelle chez l'enfant de trois à six ans est mise en évidence à travers une succession d'exercices de psychomotricité adaptés à chaque âge. Ce film pédagogique incite l'enseignant à observer la potentialité des enfants et éventuellement, en cas de déficit psychomoteur, à mettre en oeuvre certains moyens d'y remédier pour atteindre à une maturation psychomotrice globale et équilibrée. Note: Le document, réalisé en 1975, est maintenu en collection en raison de son contenu toujours d'actualité malgré un traitement audiovisuel ancien. Aucun autre document sur le sujet n'est disponible jusqu'à présent.
Connaissez-vous Lacan, que beaucoup considèrent comme le plus grand psychanalyste depuis Freud? Au-delà du mythe, des légendes et parfois des anathèmes, ce film de Gérard Miller nous permet de découvrir son oeuvre et sa personnalité, grâce aux témoignages de ses patients, de ses élèves, mais également de ses proches. Né avec le XXe siècle dans une famille catholique de la moyenne bourgeoisie, psychiatre de formation, doté d'une culture encyclopédique, ami de Picasso, de Lévi-Strauss ou de Sartre, Lacan est considéré comme un théoricien génial, un praticien hors pair, et l'un des plus modernes et plus stimulants voire le plus sulfureux des psychanalystes. Compléments DVD: Entretien avec Judith Miller (17') - Entretien avec Jacques-Alain Miller (15') - Le point de vue du réalisateur (14').
La finalité même de l'enseignement est remise en cause par le rythme scolaire qui est imposé à l'écolier belge. La raison en est la concentration excessive des matières sur une journée plus longue mais sur une année plus courte que dans les autres pays d'Europe. Conséquences: l'échec scolaire le plus élevé d'Europe, la dégradation des relations avec les enseignants, un coût budgétaire de plus en plus difficile à maîtriser. La Commission d'études des rythmes scolaires recommande: d'équilibrer les apprentissages cognitifs, moteurs et affectifs; de tenir compte de la chronobiologie et d'adapter l'école aux variations de performance de l'enfant dans la journée, la semaine et l'année. Trois expériences d'écoles (secondaire, fondamentale et maternelle) appliquant ces recommandations sont présentées.