Deux familles qui gardent leur enfant autiste à la maison à cause du manque de structures, témoignent de leur peine, mais aussi de leur joie. Ce film veut sensibiliser tous ceux qui peuvent en 1997 intervenir en faveur de la création de structures pour autistes en Martinique.
Ce film est conçu comme une aide audiovisuelle pour la formation des médecins à la relation dans le cadre du dépistage du VIH, en vue de faciliter l'écoute du discours du consultant, permettre au médecin de se situer dans une perspective de prévention qui la rende plus efficace, apporter les éléments pour un soutien le plus ajusté possible au malade et à son entourage. Quatre consultations sont présentées, suivies des commentaires à chaud du consultant d'une part, et du médecin d'autre part sur leur déroulement. Le film est destiné : - aux étudiants de troisième cycle généraliste de l'enseignement universitaire, - aux médecins d'exercice libéral par le canal de l'Enseignement Post Universitaire, - aux médecins hospitaliers par l'intermédiaire des services de formations spécifiques. Traité sous la forme documentaire, le film doit permettre l'identification aux protagonistes des différentes situations présentées, par l'authenticité que confère au document la chose vécue et par la proximité des thèmes abordés. Le module comprend un film regroupant les quatre consultations, puis les commentaires des protagonistes, et quatre cassettes reprenant chacune des consultations et leurs commentaires propres.
ANGELIKA Documentaire (14 min)
Réalisateur :
Léopold Legrand Pays :
Belgique
- 2016
FIFF Namur 2016 - Grand prix
POITIERS INTERNATIONAL FILM FESTIVAL 2017 - Grand prix
Angelika a probablement vu trop de choses pour une enfant de 7 ans. Pourtant, sans jamais se plaindre, elle avance, déterminée et courageuse. Entre le foyer où elle vit désormais et le chenil où elle va rendre visite au chien de la famille, elle marche la tête haute et le coeur gros.
Comment réagir face à la toxicomanie de son enfant? Bien des parents sont démunis devant cette terrible réalité, et pourtant, avec le temps, ils doivent eux aussi vivre la dépendance, la délinquance, et même la violence de leur enfant. Las d'être livrés à eux-mêmes, des parents ont décidé de rompre le silence et ils témoignent. Ils racontent leur calvaire, les crises de manque, la prison, la désintoxication, les rechutes et dans certains cas, l'overdose, les comas, la mort... La réponse au problème n'est pas universelle. Chaque famille est différente et il appartient à chacune d'elles de découvrir sa solution, comme en témoignent un neuropsychiatre et des organisations de groupes de parents.
Evocation d'un univers fantasmatique féminin, constitué des représentations qui s'articulent autour d'un fantasme. A travers une fiction, le film met en scène des productions de l'inconscient, telles que actes manqués, jeux de mots, rêves, fantasmes. Il a pour but de susciter une réflexion sur le problème de la sexualité féminine.
Paul Bensussan, psychiatre et expert auprès de la Cour d'Appel de Versailles, et Marceline Gabel, chargée de cours à l'Université Parix X et responsable de la Protection de l'Enfance en Danger à l'Observatoire décentralisé de l'Action sociale, abordent la question de l'abus sexuel, plus particulièrement des fausses allégations en la matière. L'abus sexuel a récemment quitté les champs du tabou qui le faisait passer sous silence. L'émotion générée par ces accusations soudainement portés à la lumière du jour semble avoir provoqué une vague de soupçons et d'opprobre. Que l'allégation soit fondée ou non, l'enfant se retrouve toujours au centre de la spirale de la maltraitance et c'est toujours sa protection qu'il convient de prendre en compte. Pour ce faire, il s'agit avant tout de lever le caractère passionnel du débat et de gérer les conflits entre le doute nécessaire et la recherche du risque zéro.
Passer dans une forêt sauvage à la chasse des démons et aller vers la femme. Elle est là, la femme, belle à éprouver et accueillir. Avec Zoé, un vrai travail de métamorphose.
Pour la première fois en France, une équipe a pu tourner sans contrainte pendant six mois dans un établissement pénitentiaire de femmes. Elles se retrouvent en prison, mais leur vécu, leur paroles ne sont pas les mêmes. Elles nous le racontent , elles nous le montrent, avec tristesse, avec colère, avec humour... Des femmes qui bouleversent, émeuvent, questionnent ou irritent par l'intensité de leur présence. Elles sont inquiètes de ce que leur réserve l'avenir. A chaque nouvelle incarcération, elles savent que la prison va les casser un peu plus et que leur réinsertion se fait plus illusoire. Du fond de leur cellule, elles osent des questions qui nous concernent tous.
Fer et fils" nous emmène dans un univers particulier, celui d'Eric, forgeron à plein temps. Un atelier bien à l'image de ce dernier. Une histoire de fer, mais également une histoire de fils... Et donc, d'un père. Une histoire de choix, de risques, de bons et de mauvais moments. Le récit d'une vie et de ferraille.
Artiste peintre, Flore est atteinte de la maladie d’Alzheimer depuis plusieurs années. Elle a été “enfermée“ successivement dans deux institutions spécialisées. Les traitements l’avaient rendu aphasique, muette, elle ne savait plus ni marcher, ni manger, ni sourire. Elle est devenue de plus en plus violente, agressive, “ingérable“. Pour les médecins, la seule perspective, c’était le placement dans une maison “sécurisée“. Contre l‘avis général, son fils, Jean-albert Lièvre et sa fille, Véronique, décident de l’installer dans la maison de famille, en Corse, entourée d‘une équipe atypique. Là bas, pas à pas, mois après mois, pendant un an, elle va littéralement revenir à la vie. Dans le récit d’une renaissance inespérée, on découvre que la terrible maladie d’Alzheimer ne se guérit pas. Mais qu’on peut essayer de vivre avec. http://www.flore-lefilm.com/
Sont présentés : - les positions schizoparanoïdes et dépressives - le clivage - les identifications projectives normales et pathologiques - la capacité de rêverie de la mère - la fonction alpha - la pulsion K - le conflit esthétique- ainsi que les vues de F. Bégoin-Guignard sur le vocabulaire et la technique de Mélanie Klein.
« Péter un plomb » ça peut arriver à n’importe qui, à n’importe quel moment! Comment se rendre compte que le cerveau est malade? Comment ça se soigne ? Est-ce que ça soigne seulement ?
Une collection de dix documentaires qui retrace les plus grandes affaires criminelles au moyen de reconstitutions, d'images d'archives et d'interviews d'historiens, de médecins légistes et d'enquêteurs.
Les "tueurs en masse" assassinent des innocents par acte de rébellion, de revanche ou de haine. Quelles sont leurs motivations? En août 1987, dans une tranquille ville de campagne, Michael Ryan massacra seize personnes, dont un policier et sa propre mère, avant de mettre fin à ses jours. En 1966, à Austin au Texas, un homme tua sa mère et sa femme, avant de s'en prendre à une université tuant une douzaine de personnes. Il fut abattu par la police en emmenant dans sa tombe le secret de son acte. En 1970, la police de Houston découvre enfin la raison de la disparition d'un adolescent...
Après le passage sur l’antenne de la RTBF en 1977 du film de Marco Bellocchio « Fous à délier », Françoise Wolff reçoit sur le plateau les grandes figures de l’antipsychiatrie italienne, anglaise, française et belge : Mario TOMASINI , Franco BASAGLIA, David COOPER, Mony ELKAIM et Felix GUATTARI.
A travers reportages et entretiens, le magazine de la rédaction de France 2 présenté par Françoise Joly et Guilaine Chenu aborde tout ce qui fait l'actualité internationale. Loin du sensationnalisme arbitraire, les grands reporters d'Envoyé spécial scrutent la réalité, décortiquent la situation et rencontrent les protagonistes afin de poser un autre regard et de découvrir une autre vérité. Lierneux, petite bourgade de la province de Liège en Belgique. Ici, depuis plus d'un siècle, c'est l'hôpital psychiatrique qu fait vivre la région. On y soigne notamment des cas très lourds de psychoses: paranoïas, schizophrénies... Et quand les patients sont stabilisés et ne présentent plus de danger ni pour eux ni pour leur entourage, ils partent vivre dans des familles d'accueil, où ils retrouvent des repères et une dignité loin des murs de l'hôpital. Envoyé spécial a suivi trois patients: Jean, Patricia et Philippe dans leur vie de tous les jours, et avons été témoins de petits bonheurs tendres et parfois de heurts, quand ils doivent retourner à l'Institut. Ils se raccrochent à quelques souvenirs: des enfants qu'ils ne voient plus ou si peu, et parlent de leur folie avec une lucidité désarmante. Philippe raconte ces voix qu'il entend et qui lui condamnent de se tuer. Jean évoque ces flammes qu'il voit sortir de terre...
Considérée souvent comme " pas crédible "", cette maladie véritable atteint environ 10% de la population et peut devenir une véritable obsession pour celui ou celle qui en est frappé. Ce document de portée générale, explore les aspects médicaux et psychologiques de cette affection handicapante.